Olivier Bettati : « Je m’engage à devenir le Maire du rayonnement culturel et bien au-delà, faire de Nice une ville où l’on se cultive et où l’on se divertit avec intelligence »

: faire de Nice une ville où l’on se cultive et où l’on se divertit avec intelligence.

Parmi notre programme, voici 4 grands axes destinés à offrir à Nice la grande et belle culture qu’elle mérite, et rendre les Niçoises et les Niçois toujours plus fiers de leur ville.

1/ Un vrai foisonnement culturel à Nice

Libérer les énergies créatrices dans les initiatives privées, associatives ou institutionnelles par de la concertation, du dialogue pour déboucher sur des actions :

  • Favoriser les lieux alternatifs de culture .
  • Réconcilier les milieux artistiques avec les milieux socio-culturels pour une meilleure synergie globale
  • Développer les appels à projet de la Mairie, qu’ils soient de quartier ou à envergure internationale pour contribuer à ce foisonnement culturel.
  • Abroger immédiatement l’arrêté municipal qui oblige les artistes de rue à disposer d’une autorisation pour exercer leur art.
  • Création des Biennales afin de renouer avec des manifestations à caractère international.

une Biennale d’art contemporain à travers un circuit de structures publique et privée : musée et galeries d’art mais aussi dans l’espace public, en mettant en valeur les liens étroits et historiques qui existent entre Nice et l’art contemporain.
Elle se clôturera par un grand « supermarché » de l’art contemporain.

une Biennale d’art vivant autour du théâtre, de la danse, des musiques, du cirque d’aujourd’hui… Cette biennale réunirait tous les acteurs des disciplines concernées et se déroulerait à la fois dans des lieux dédiés mais aussi en plein air.

Ce nouvel événement devra avoir une très forte réalité participative avec les différentes populations et réparti sur l’ensemble de la ville.

Jean-Pierre GIUSTO, colistier et ancien directeur du Théâtre et de la Photographie : « Nice doit renouer avec la culture qu’elle mérite. Ces grands événements devront permettre de faire appel au mécénat culturel avec défiscalisation en complément des financements publics existants. »

  • Pour le jeune public :

Rouvrir le service d’animation et d’éducation artistique afin que toutes les écoles primaires de Nice puissent bénéficier d’interventions et de médiation culturelle.

Créer un théâtre permanent afin que familles et enseignants puissent trouver des spectacles de qualité et de toutes disciplines dès la maternelle.

  • Deux nouveaux forums :

Le Forum Culturel Annuel qui réunira, à l’initiative de la Mairie, tous les acteurs de la vie culturelle niçoise. Le but : faire un point d’étape annuel de l’action culturelle municipale, mais aussi des actions culturelles associatives et des initiatives individuelles d’artistes.

Olivier Bettati : «  Il nous semble important de ne pas attendre les élections pour réunir la communauté artistique et culturelle, mais bien de l’associer régulièrement dans un débat permanent afin de permettre à la Ville d’adapter les outils qu’elle met à disposition avec les besoins des acteurs de la vie culturelle. »

Nice Creative Forum. L’offre culturelle et créative à Nice est déjà importante mais ne reflète pas le foisonnement qui pourrait y régner. Il s’agira d’offrir une belle vitrine pour faire connaître la créativité niçoise, sa richesse, sa diversité, son savoir-faire, sa pertinence et son originalité.

Le NCF réunirait pour la première fois les acteurs de la culture, des industries créatives et de l’événementiel public dans un salon où chacun présentera programmes de saison et activités. Une occasion pour le public de découvrir les dynamiques créatives de Nice et pour les professionnels de se rencontrer et de débattre autour d’études de cas ou de partages d’expérience.

Jean FLORES, colistier et professionnel de la culture : «L’objectif est d’installer la culture et la créativité comme réalité et vecteur au service de l’image et de la dynamique socioéconomique de la ville de Nice. Pour favoriser ce foisonnement culturel il est impératif de  conserver l’intermittence du spectacle.»

  • Un portail culturel répertoriant toute l’offre culturelle en temps réel.
  • Une application mobile pour smartphone permettant de découvrir les lieux culturels par géolocalisation dans la ville.

Marie Chantal DI MARTINO-DHOSTE, colistière et chargée de communication culturelle : « il est urgent que la ville se dote d’un tel outil numérique à l’instar de toutes les grandes capitales régionales européennes.»

2/  Création d’un « Eco » quartier à l’est de la ville

Les espaces des abattoirs et du service de nettoiement (route de Turin) seront transformés en « Eco » quartier. Ce sera le lien entre la ville ancienne, poumon touristique de Nice, et le futur grand Palais des Foires sur la gare Saint Roch, futur bassin de développement économique.

Cet « éco » quartier sera conçu dans l’esprit du « Greenwich Village » new-yorkais afin d’offrir un vrai développement culturel. La Station travaille déjà dans cet esprit, ce qu’il faudra conserver voire amplifier.

Cet « éco » quartier accueillera entre autres :

  • Des ateliers d’artistes (pépinière européenne de jeunes artistes)
  • Des salles de répétition et de création pour le spectacle vivant
  • Des ateliers d’arts numériques dont les jeux vidéo…
  • Des « Fab Lab » : lieux ouverts au public qui mettent à disposition toutes sortes d’outils pour la conception et la réalisation d’objets, entre autres grâce aux imprimantes 3D. Une pépinière des entreprises innovantes autour des Nouvelles Technologies.
  • Et aussi des logements pour actifs et étudiants.

Olivier Bettati : « Comme nous détenons l’emprise au sol, ce projet est réalisable sur un mandat. »

3/ Repenser le Carnaval de Nice, entre tradition et modernité

59% des niçois n’ont pas apprécié les dernières festivités du Carnaval (sondage de nice-matin.com le dimanche 2 mars)…

Notre objectif est de redorer l’image de cet événement qui s’est doté d’une vraie réputation nationale et internationale depuis sa création il y a 130 ans.

  • Faire du Carnaval un vrai évènement FESTIF ET POPULAIRE pour les familles niçoises et les touristes, dans tous les quartiers pour redynamiser la vie culturelle niçoise et le tourisme.
  • Créer une Cité du Carnaval  au Palais des Expositions avec :

Un centre de ressources qui permettra la valorisation des savoir-faire des carnavaliers auprès de tous les publics : étudiants, chercheurs, historiens, enseignants, qui trouveront des réponses à leurs besoins.

Un lieu d’accueil pour les familles niçoises avec des ateliers de loisirs éducatifs.

Un lieu de de formation professionnalisante à l’artisanat d’excellence pour les jeunes : masques, costumes, chars, grosses têtes, etc.

Un lieu permanent accessible à tous : projections de films sur l’histoire du Carnaval, animations diverses autour de la culture carnavalière, ateliers de pratique et de fabrication…

Felix Eliott Kudelka, colistier et dirigeant d’une start-up : «Repenser le Carnaval permettra de redynamiser la vie culturelle niçoise et le tourisme en y associant, pendant la durée des festivités, tous les hauts lieux de la Culture Niçoise: Théâtre, Galerie, Conservatoire, Bibliothèque, … »

4/ Développer et promouvoir notre langue nissarde

  • Egalité avec les autres territoires de la République (Bretagne, Corse, Alsace…)

Création d’au moins une école bilingue

Formation dans les écoles primaires : initiation à la langue, l’histoire et la culture niçoise.

Des animations à travers des cours de cuisine niçoise dans les écoles primaires.

  • Améliorer la visibilité de la langue dans l’espace public : voirie, monuments, communication officielle, transports (tramway, bus).

Felix Eliott Kudelka : « Nice est une ville qui donne des racines à qui le veut. La culture niçoise c’est avant tout du lien social. Il s’agit désormais de réinventer nos fondamentaux pour éviter la folklorisation de notre culture. Vaulèn une cultura viva (nous voulons une culture vivante) ! »

Réunion publique sur les risques encourus par le projet du tunnel ligne 2 avec le Professeur Eric GILLI, Professeur de géologie Vendredi 14 mars à 17h30 Hotel Splendid à Nice

Réunion publique sur les risques encourus par le projet du tunnel ligne 2

En présence du Professeur Eric GILLI

Professeur de géologie à l’Université Paris 8

Chercheur sur les séismes, tsunamis et mouvements de failles dans les grottes
Expert en géologie appliquée (études de fondations et hydrogéologie)
Vendredi 14 mars
A partir de 17 H 30
A l’Hôtel Splendid
50 boulevard Victor Hugo
Nous espérons vous y retrouver nombreux.

Soutien du Dr André Minetto à la manifestation à Nice du 8 mars pour sauver le train des Merveilles, la ligne Nice-Cuneo … qu’il faudra prolonger jusqu’à Genève

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La Cuneo-Nizza Unisce  manif 8 mars 14

La Cuneo-Nizza Unisce a partagé la vidéo de Jacques Boucharif

Notre chanson avec et par Diego Origlia au rassemblement à Nice

La nostre canzonne con é per Diego Origlia al GRAND RASSEMBLEMENT NICE-PRESIDIO A NIZZA

« Racines du Pays Niçois » était aussi présent au rassemblement de soutien à notre ligne du train des merveilles, Nissa-Cunèo.

Nous avons assuré nos amis des vallées de la Roya et de la Vermeniana du soutien des associations culturelles nissardes. On a chanté, on a dansé, on a discuté, on a partagé. Cela fait du bien de voir les « Nissart » se réunir pour défendre leur patrimoine  !

  1. Photo
    JT 19-20 Côte d’Azur du 08-03-2014 en replay | Vidéo en streaming sur francetv pluzz
    pluzz.francetv.fr
    VIDEO. Manifestation à Nice pour sauver le train des Merveilles
    Les Amis azuréens du rail et le Comité franco-italien de défense de la ligne Nice-Cuneo manifestaient de nouveau, samedi à Nice, pour réclamer le rétablissement immédiat de la circulation

La section de Nice de la LDH soutient la lutte des amis du rail azuréen pour le maintien du service public et la défense de notre ligne Nice-Tende-Cuneo/Ventimiglia: le 8 mars à 11h gare de Drap et à 15h gare de Nice-Ville

 » La section de Nice de la LDH soutient la lutte des amis du rail azuréen pour le maintien du service public. 

Nous vous appelons à un grand rassemblement revendicatif et festif

SAMEDI 8 MARS :

à 11 h GARE de DRAP (organisé par les Amis du Rail)
  
 à 15 h devant la GARE de NICE-VILLE  (organisé par le comité de défense Nice-Tende)

Prises de paroles par les usagers, musique…

 Tous ensemble pour la défense du rail et de notre ligne Nice-Tende-Cuneo/Ventimiglia !

EXIGEONS d’urgence :

– du Préfet la réquisition de la SNCF pour la mise en place de navettes ferroviaires de substitution entre L’Ariane et Breil (inutile entre Breil et Tende, avec la limitation de vitesse à 40 km/h imposée par RFF), et une programmation horaire de bus compatible avec les besoins vitaux des usagers.

– de la métropole de Nice : la mise en oeuvre urgente des travaux de purge et de dégagement de l’éboulement sur ses terrains 7 mois avant que la SNCF n’envisage de rouvrir une ligne internationale qui dessert 4 vallées ! Nous n’acceptons pas d’être des citoyens méprisés.

La liberté de circuler est une des bases de l’économie vitale des territoires, de leur égalité, et de la démocratie ! La SNCF doit assurer sa mission de service public . »

Ligue des droits de l’Homme

Section de Nice

contact-mails  : liguenice+contact@gmail.com
T : @liguenice  F :  www.facebook.com/ldhnice

courrier : Maison des associations 12, ter Pl Garibaldi 06300 Nice

NOEMYA présentera son livre  » De la rage dans mon cartable » et ZINE présentera son show  » Folie Douce » le 7 mars à 21h salle Black box CAL Bon voyage à Nice

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#NOEMYA présentera son livre  » De la rage dans mon cartable »,
témoignage du harcèlement à l’école,
en intercalant quelques uns de ses meilleurs textes slam, tirés du livre,
plus d’infos : http://www.cooperativechanson.org/artistes/noemya/

et ensuite,
#ZINE présentera son show  » Folie Douce »
après 3 jours de résidence lumière….ça va envoyer !!
plus d’infos :
http://www.cooperativechanson.org/artistes/zine/

Entrée libre,
avec participation à la collecte pour la banque alimentaire
(exemple : 1kg de pâte, de riz, quelque chose qui se mange et se conserve)
http://associations.nice.fr/-Banque-Alimentaire-des-Alpes-.html

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RAPPEL : Participons à la consultation publique « interdiction des OGM » jusqu’au 9 mars 2014

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 » Document réalisé par Agir pour l’environnement, les Amis de la Terre, APSODA, Confédération Paysanne, CLVL Paris, FNAB, FNE, GIET, Greenpeace, UNAF.

- Le 17 février, le ministère de l’Agriculture a lancé une consultation publique sur un projet d’arrêté visant l’interdiction de la commercialisation et l’utilisation des variétés de semences de maïs GM (http://agriculture.gouv.fr/Consulta…). Chacun peut y participer (jusqu’au 9 mars 2013) et faire part au gouvernement de ses remarques sur ce texte en envoyant un mail à cette adresse :consultation.ogm.dgal@agriculture.gouv.fr

- Vous trouverez ci-dessous une analyse de nos différentes organisations vis-à-vis de ce projet d’arrêté. N’hésitez pas à reprendre et reformuler cet argumentaire si vous souhaitez participer à la consultation. Il est important que votre participation ne soit pas un copié-collé du texte ci-dessous, faute de quoi celle-ci ne serait pas prise en compte.

- Le projet d’arrêté devrait viser plus clairement l’interdiction de « la culture » des semences de maïs MON810 et non seulement la commercialisation et l’utilisation de ces semences. Il faut ajouter la notion de culture à l’article 1 de l’arrêté : formulation proposée de l’article 1 du projet d’arrêté : « La commercialisation, l’utilisation et la culture de semences de variétés de maïs issues de la lignée de maïs génétiquement modifié MON810… ».

- Le projet actuel prend appui sur deux bases juridiques européennes : la directive 2002/53 qui ne permet de suspendre que la commercialisation des semences, et le règlement 1829/2003 qui permet de prendre une interdiction plus globale mais sur la base d’arguments scientifiques uniquement… Ce projet d’arrêté devrait utiliser une troisième base juridique du droit européen : l’article 26bis de la directive 2001/18 qui permet de défendre les filières sans OGM.  _
- Le gouvernement français, sur la base de l’article 26bis de la directive 2001/18, doit demander d’interdire la culture d’OGM là où d’autres filières sont particulièrement menacées. Et c’est précisément le cas pour l’apiculture, les maïs population, les filières « sans OGM », biologiques, signes de qualité excluant les OGM… Ainsi que la loi française le précise (article 2 de la loi n°2008-595), la culture des OGM ne peut se faire que dans le respect de ces filières.

- L’article 26bis doit permettre d’ouvrir le débat sur la culture des OGM à d’autres considérations notamment économiques, qui ne sont prévues ni par le règlement 1829/2003 ni par la directive 2002/53. En effet, il est extrêmement problématique qu’un État ne puisse pas interdire les OGM dans des zones qui menacent des productions installées traditionnellement, sans être obligé de démontrer l’existence d’un risque sanitaire et environnemental.

- L’intérêt économique, social, patrimonial et culturel de telles filières est une réalité qu’un État doit pouvoir défendre. La production de semences « non OGM » est aussi une activité économique en tant que tel. Et la France exporte de telles semences certifiées « non OGM ». Ce serait donc un manque à gagner que de ne pas protéger toutes ces productions. La culture des OGM menace irrémédiablement la production de pollen par les apiculteurs (les apiculteurs vendent du miel, mais également d’autres produits comme le pollen). La présence d’OGM dans le pollen devra être étiquetée et le pollen deviendra invendable. Avec la culture des OGM, il sera donc impossible de produire du pollen dans certaines régions.
La culture des OGM limitera fortement le développement des surfaces en agriculture biologique et sa compétitivité, alors même que la demande dépasse largement la production française et continue d’augmenter. La bio est l’un des secteurs agro-alimentaires les plus dynamiques économiquement aujourd’hui.

- L’organisation de la coexistence impliquerait de nombreux coûts qui sont aujourd’hui impossibles à chiffrer (Haut Conseil des Biotechnologies, recommandations du 14/12/11). Ces coûts sont en tout cas bien supérieurs aux avantages que pourraient retirer les agriculteurs de cette culture, étant entendu d’une part qu’il existe de nombreuses méthodes alternatives efficaces et que, d’autre part qu’il n’y a pas d’intérêt direct pour les consommateurs à la culture ou à l’utilisation de cet OGM.

- La France n’a à ce jour défini aucune règle de coexistence. De telles règles doivent connaître une flexibilité pour tenir compte des spécificités territoriales et de ce fait, être élaborées en concertation avec les acteurs d’un même territoire, à l’échelle locale. En l’absence de réflexion sur l’organisation de la coexistence, en l’absence d’expérimentations scientifiques indispensables à la définition de ces règles, la mise en place de règles de coexistence n’est pas envisageable d’ici les semis 2014.

Sites Web : Consultation publique interdiction des OGM

COLLOQUE PUBLIC « Changement d’échelle de la bio : la coopération en débat » à Marseille le 26 mars 2014 à partir de 16h30 – AG FNAB (Fédération nationale de l’agriculture biologique)

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Moment fort de la vie du réseau FNAB, il s’agit aussi d’une première en PACA et d’une occasion unique de mettre en valeurs nos productions locales ainsi que les partenaires historiques de l’agriculture biologique régionale.

« Le développement quantitatif de la bio est un enjeu fort des politiques publiques. Après les objectifs du Grenelle de l’environnement (20% de bio en 2020), le programme Ambition bio 2017 a voulu se donner un horizon plus « réaliste » de 8% de la SAU en bio d’ici la fin du mandat alors que la France compte aujourd’hui 4% de sa surface agricole en bio. Certaines régions, comme Provence Alpes Côte d’Azur, comptent déjà plus de 10% de leur SAU en bio (15% pour PACA) et affichent des objectifs plus ambitieux encore.

Dès 2011, l’Assemblée générale de la FNAB a débattu des conditions qualitatives de ce développement de la filière bio au regard des opportunités et des risques du changement d’échelle. Cette réflexion a débouché sur une « recherche action » menée avec des producteurs et des chercheurs pour une « nouvelle économie bio » relocalisée, solidaire, équitable et surtout durable.

Au coeur de cette nouvelle économie bio, il y a la « coopération » entre les producteurs et les parties prenantes (aval, pouvoirs publics, consommateurs). Cette coopération prend des formes très diversifiées selon les territoires, les filières, les acteurs. Elle interroge la gouvernance au sein des structures que ce soient des organisations de producteurs bio, des coopératives ayant développées une activité bio à côté de leur activité conventionnelle ou encore des structures innovantes de coopération associant plusieurs types d’acteurs. Autour de témoignages variés ce colloque interroge les formes de coopérations. Dans quelles conditions sont-elles à même d’accompagner le développement d’une agriculture biologique durable ? Quel type de gouvernance peut garantir un équilibre entre les impératifs économiques et un projet éthique solidaire et durable ? Quant aux coopératives mixtes, peuvent-elles concilier ce développement de la bio sans conflit d’intérêt avec leur activité conventionnelle ? Quel rôle pour le réseau de la FNAB ? Quel rôle pour les pouvoirs publics ?

Programme
Accueil  : 16h30
16h50  : Introduction : Alain Delangle : Quelles coopérations pour accompagner un changement d’échelle de la bio ? – Marie Maurage : Mobiliser en PACA pour éveiller la coopération économique autour de la bio
17h15  : La coopération agricole et le développement de la bio Solebio, Philippe Girard, président : De la mise en place à la consolidation d’une organisation de producteurs bio de F&L dans le contexte de changement d’échelle. Teraneo, Exemple d’une coopérative de F&L de Languedoc Roussillon : Opportunité, demande des adhérents ? Quand, pourquoi et comment l’activité bio s’est-elle développée ? Coop de France : Quelle place des producteurs bio dans les coopératives ayant une double activité conventionnelle et bio ? En quoi les nouvelles lois, « Hamon » et « avenir agricole », impactent-elles la gouvernance des coopératives ?

Débat avec la salle
18h10  : De nouvelles formes de coopération pour une bio reliant acteurs et territoires Sicaba, Luc Mary : développer la bio et s’inscrire dans une SCIC territoriale
FRALIB : un projet de coopération ouvrière dans le cadre d’une filière bio PPAM
Conseil Régional PACA, Mireille PEIRANO, Vice-présidente : quelles politiques régionales pour accompagner le changement d’échelle de la bio en PACA ?

Débat avec la salle. 19h  : Conclusion par un grand témoin, Claire Lamine, sociologue à l’INRA (Ecodéveloppement, Avignon), présentation du programme de filières bio durable en Europe.

MERCREDI 26 MARS DE 16H30 À 19H30 À MARSEILLE DANS LE CADRE DE L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DE LA FNAB :
AMPHITHÉÂTRE MPM – LE PHARO 58 BD CHARLES LIVON MARSEILLE
ACCESSIBLE EN BUS DEPUIS LES LIGNES N°81, 82 OU 83 : ARRÊT LE PHARO  »

« Berezina nucléaire française en Finlande » – La part du nucléaire dans l’électricité mondiale s’effondre et l’industrie nucléaire est condamnée mais plombe les finances en France

A lire en entier dans :

http://coordination-antinucleaire-sudest.net/2012/index.php?post/2014/03/01/Berezina-nucléaire-française-en-Finlande

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 » Commencé en 2005 le chantier de l’EPR finlandais, situé à Olkiluoto et conduit par Areva, devait ne durer que 4 ans et demi  et « ne coûter » que 8,5 milliards d’euros. On en est à 8 ans et près de 10 milliards. Le quotidien économique finlandais Kauppalehti vient de confirmer (*) ce vendredi 28 février 2014 les informations qui circulaient depuis quelques temps : le constructeur du réacteur, le français Areva, vient de mettre un terme aux contrats de travail d’une cinquantaine de contremaîtres, les derniers encore en poste devant suivre la même voie fin mars. Le chantier de l’EPR d’EDF en cours de réalisation en France à Flamanville ne se porte pas mieux. La déconfiture du fanatisme atomiste est en cours…

Le réacteur EPR de Finlande est en cours d’abandon par Areva qui retire ses salariés… Les pertes liées à Olkiluoto 3 sont désormais évaluées à 3,8 milliards d’euros pour Areva.

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Commencé en 2005 et désormais quasiment à l’arrêt, le chantier du grandiose réacteur EPR de ce qui était vanté et vendu comme la 3ème génération du nucléaire made-in-France (crime de destruction atomique) et devait servir de vitrine mondiale à Areva et EDF est en déroute.

Officieusement, la mise en service de l’EPR serait repoussée à 2018 voire 2020, c’est à dire 15 ans après le début d’un chantier qui devait être bouclé… en 4 ans et demi ! Le plus probable est que l’EPR finlandais rejoigne, au musée des horreurs, les autres réacteurs achevés plus ou moins mais jamais mis en service : en Autriche (Zwentendorf), en Espagne (Lemoniz), en Allemagne  Kalkar), aux Philippines (Bataan). Il se pourrait aussi qu’il ne soit jamais terminé.

De l’aveu même du grand patron d’Areva, Luc Oursel : « l’EPR finlandais est une réelle difficulté pour Areva » et le président du directoire d’Areva d’avouer, au micro de BFMTV ce 27 février,  que le groupe a du prévoir et adopter une nouvelle provision de 425 millions d’euros. Un aveu de taille qui illustre que le nucléaire n’est pas rentable, qu’il conduit à l’explosion des coûts et au final du prix réel du kw/h et que sans aides financières des Etats, donc des contribuables, ce secteur est en faillite et hypothèque tout choix démocratique alternatif.

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Le concurrent et comparse d’Areva, EDF, ne fait guère mieux et son chantier EPR de Flamanville (Manche) connait lui aussi : des retards (au lieu des 4 et demi « vendus » pour obtenir l’aval des autorités, l’horizon d’une fin hypothétique de chantier est envisagée à présent à 10 ans; des surcoûts titanesques voisinant à présent les près de 8 milliards (du premier prix annoncé par EDF de 2,8 milliards d’euros on est passé à près de 10 milliards d’euros); des malfaçons et des défauts de conception que l’Autorité de Sûreté Nucléaire a du mal à couvrir à tous les coups et qui se traduisent sur le chantier par le handicap ou la mort de salariés. L’endettement d’EDF atteignait lui de son côté, en 2011, les 33,3 milliards d’euros alors que, en 4 ans, le nombre d’emplois chutait de 30% passant de plus de 96800 (2006) à moins de 60 400 (2009).

Ce désastre de l’industrie nucléaire française qui tente malgré tout et par tous les moyens, y compris le noyautage des institutions et de l’Etat, de faire perdurer son règne est la suite logiquement terrifiante d’une illusion et d’un mensonge d’Etatentretenu depuis 50 ans par le lobby nucléaro-militaire et ses relais politiciens. Le nucléaire n’est ni tricolore ni garant de l’indépendance nationale et coûte très cher et encore plus si il devait intégrer, comme c’est la norme pour toute autre industrie et activité, ce qu’il refourgue sous le tapis aux contribuables : la gestion du million sept cent milles mètres cubes de déchets radioactifs pour des milliers de générations.

Indépendance ou dépendance ? : la quasi totalité des réacteurs « français » (54 sur 58, tous construits entre 1977 et 1999) sont … américains (au début des années 1970 EDF du acheter et payer fort cher à l’états-unien Westinghouse les licences de construction). A l’époque les représentant en France des 2 groupes états-uniens CGE et Whestinghouse (Georges Pompidou et Giscard d’Estaing) bataillaient ferme pour imposer chacun leur patron.

Indépendance ou dépendance ?  : devant la frénésie de faire du buiziness à tout prix Areva a ouvert son capital à des capitaux étrangers : Koweit, Iran, Allemagne, Belge (via Total notamment), le Qatar est aussi en embuscade. EDF, privatisé, a ouvert plus de 15% de son capital à d’autres détenteurs que l’Etat français. Les investissements ruineux et inutiles d’Areva aux USA (affaire Uramin) et ceux d’EDF, notamment en Grande-Bretagne, plombent toute cette filière du passé. Et l’argent manque.

Indépendance ou dépendance ?  : l’uranium nécessaire au fonctionnement des centrales provient depuis des décennies de mines étrangères (Kazakstan, Canada,Niger) et dans les pires conditions d’exploitation notamment des travailleurs africains, la contamination des populations locales et des territoires notamment Touareg. C’est le colonialisme à l’état brut, renforcé depuis ces derniers mois par les interventions militaires de la France en Afrique à proximité des gisements dont elle est dépendante.Indépendance ou dépendance ? : la nouvelle usine française d’enrichissement de l’uranium au Tricastin (Georges Besse II) ne peut fonctionner que par des centrifugeuses étrangères achetées cher et très cher par Areva à son concurrent Urenco ; Urenco est détenu à 30% par E.ON (la plus grosse capitalisation boursière de l’indice DAX allemand ) et RWE (conglomérat allemand ), le solde appartenant aux Pays-Bas et au Royaume-Uni.

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Les quelques réalisations françaises ont été, hormis la terrifiante bombe atomique mise au point avec l’aide discrète des Etats-Unis, des échecs cuisants : les réacteurs graphite-gaz des années 60 qui ont généré 2 accidents nucléaires entrainant la fusion d’une partie du cœur des réacteurs UNGG de la centrale nucléaire de Saint-Laurent en 1969 et 1980, ainsi que l’imbroglio des réacteurs G1/G2/G3 mis en chantier par le CEA à Marcoule et dont le démantèlement est devenu quasi-impossible et qui génère des drames et morts; Superphénix (situé dans la centrale nucléaire de Creys-Malville en bord de Rhône, à 30km du Bugey) qui a été abandonné et mis en arrêt définitif en 1997 au terme de près de 20 ans de déliquescence; et… l’EPR qu’il soit piloté par Areva ou par EDF.

Le parc nucléaire français est dans un état avancé de délitement. Prévu pour une durée de 30 ans, le lobby veut à tout prix en prolonger l’exploitation à coup d’investissements délirants (200 à 300 milliards à la louche et au bas mots !) qu’EDF répercutera sur les factures des usagers pendant des décennies (1). Mais tous les observateurs avertis savent que, techniquement, la mise aux normes pour renforcer la sécurisation des installations est aléatoire et loin d’être possible. Impossible de réhabiliter des installations nucléaires obsolètes, présentant des fissures importantes, et dont la conception initiale empêche une foultitude d’interventions pourtant jugées indispensables par l’Autorité de Sûreté Nucléaire elle-même. En fait pour que le gouvernement français, qui veut maintenir 80% de son parc nucléaire, atteigne son but, il faudrait que le lobby nucléaire – qui contrôle l’Etat et est le véritable pilote de la politique énergétique de la France (aveux de l’ex-ministre socialiste Batho) – construise un réacteur par année pendant les 40 prochaines années. Un délire techno-militaro-scientiste-fanatique qui, en plus, hypothèque le présent et l’avenir.

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L’aventure dramatique du nucléaire civil et militaire doit s’arrêter immédiatement. Elle est responsable des pires catastrophes engendrées par l’homme que la Terre ait connu (Tchernobyl et Fukushima), génératrice de centaines de milliers de m3 de déchets radioactifs mortels pour des millions d’années, pilleuse des ressources des pays d’Afrique et contaminatrice de ces pays, responsable en France de la contamination radioactive des territoires, de l’air et des ressources en eau, génératrice de milliers d’atteintes à la santé et à la vie des salariés et de la population, un gouffre financier qui vampirise les populations et bloque leur avenir…. ‘

Les bouffes-projections de La ManuFabriK : film « Ne vivons plus comme des esclaves » du Grec Yannis Youlountas vendredi 14 mars 2014 à 20h

Les bouffes-projections de La ManuFabriK
Le vendredi 14 mars 2014 à 20h  

– Cantine à Prix Libre

(avec des bons produits du coin)

– Projection du documentaire

Ne vivons plus comme des esclaves de Yannis Youlountas

Local des Diables Bleus 29 route de Turin – Nice

Prix libre

 A l’heure où l’économie solidaire s’installe de plus en plus, 2013, en Grèce, des expériences naissent pour s’affranchir de la dictature monétaire. Ces alternatives expérimentent immédiatement une autre façon de vivre qui réinterroge notre rapport à l’argent.

Nombre de places limitées, merci de réserver sur contact@lamanufabrik.net  »

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« Palmarès des maires: Nice peut mieux faire » dans L’Express … et elle le fera encore mieux avec le nouveau maire en avril 2014 – ESTROSI BASTA !!

On s’en doutait : le maire de Nice « peut mieux faire » ! Mais, cette fois, c’est L’Express qui l’écrit. En effet, l’hebdomadaire vient d’établir un palmarès des maires des grandes villes selon lequel Christian Estrosi « ne se classe qu’au treizième rang sur 34 – une place modeste compte tenu de la population de sa ville » et de l’atout que représente Nissa la bella … un vrai gâchis avec un si beau diamant !!

Et le magazine enfonce le clou : « ses plus mauvais résultats, le maire les enregistre d’abord dans le domaine économique, où il termine dernier ex aequo. […] Estrosi récolte aussi un zéro pointé dans le domaine de la solidarité, où il prend également la dernière place (ex aequo, là encore). » Et dans le domaine Développement durable c’est aussi catastrophique. Vivement début avril et un nouveau Maire !

Voici le détail de ce classement (sur 34 grandes villes) catastrophique pour l’écologie, l’économie, la solidarité, la fiscalité et l’emploi; et très moyen sur la sécurité ab-vec la 1ère police municipale de france et le plus grand nombre de caméras de surveillance :

– Classement général : 13e
– Culture : 3e
– Urbanisme : 5e
– Influence : 8e
– Transport en commun : 9e
– Sécurité : 10e
Développement durable : 19e
Fiscalité : 22e
Développement économique : dernier
Solidarité : dernier

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/palmares-des-maires-nice-peut-mieux-faire_1495068.html#FJK1b3yS3IGvJXqZ.99

 » Christian Estrosi se classe 13e sur 34 dans notre palmarès des maires de grandes villes. Loin derrière Alain Juppé (Bordeaux) et Gérard Collomb (Lyon), mais devant ses voisins Jean-Claude Gaudin (Marseille) et Hubert Falco (Toulon).

Dans le domaine des transports, l’édile est également plutôt bien placé, en 9e position. Les données chiffrées sur lesquelles s’est en partie appuyé notre jury plaident en sa faveur. La fréquentation des transports en commun a ­fortement augmenté (+48%) au cours du mandat -l’une des progressions les plus nettes de France après Toulouse. L’effet tramway joue à plein. Pourtant, c’est à son prédécesseur, Jacques Peyrat, que les Niçois doivent ce nouveau mode de transport public, plébiscité par les usagers. « La ligne 1 a été inaugurée avant l’élection de Christian Estrosi. Au cours de son mandat, il n’a réalisé que 450 mètres supplémentaires, entre Pont-Michel et l’hôpital Pasteur », ­observe le communiste Robert Injey. Les besoins de transports en commun restent d’ailleurs énormes, contraignant les habitants à utiliser encore massivement la voiture individuelle ou le deux-roues. Selon les données nationales les plus récentes (2010) ils ne sont que 22% à fréquenter les transports en commun, loin derrière Lyon (36%) et Lille (32%).

Le chômage a nettement augmenté

Ses plus mauvais résultats, le maire les enregistre d’abord dans le domaine du développement économique, où il ­termine dernier ex aequo. Christian Estrosi souffre de la dégradation du climat local. Le chômage a nettement augmenté entre 2008 et 2013 dans le bassin d’emplois niçois, passant de 6,8% à 10,6% de la population active. Les installations d’entreprises dans les nouvelles zones d’activités de la Plaine du Var, comme Schneider Electric, qui a quitté Antibes pour Carros en 2011 avec 350 salariés, n’ont pas suffi à ­endiguer le phénomène. « En 2008, le candidat Estrosi nous avait annoncé une stratégie économique créatrice de plusieurs milliers d’emplois dans l’opération d’intérêt national (OIN) de la Plaine du Var. Or, les opérations les plus spectaculaires sont les transferts des sièges régionaux d’ERDF et de Veolia, donc de simples transferts d’emplois, pas des créations nettes », observe Patrick Allemand.

Pas suffisamment de places pour la petite enfance

Estrosi récolte aussi un zéro pointé dans le domaine de la solidarité, où il prend également la dernière place (ex aequo, là encore). Non seulement il s’exprime peu sur ce sujet, mais les indicateurs disponibles pour évaluer son bilan ne sont pas fameux. Ainsi de la lutte contre le racisme, par exemple. Selon un baromètre établi en 2013 par le Conseil représentatif des associations noires de France, qui a audité les politiques de lutte contre le racisme de toutes les grandes villes, cette question n’est ­visiblement pas une préoccupation de la mairie de Nice, contrairement à ­Toulouse, Dijon ou Grenoble. Même constat médiocre du côté de la petite enfance. Nice n’offre pas suffisamment de places en accueil collectif (crèches, haltes-garderies, assistantes maternelles) pour répondre à la demande des parents d’enfants de moins de 3 ans. Seuls 41% des petits Niçois bénéficient de ces modes de garde (contre 81,5% au Mans, numéro un). Un domaine dans lequel on constate d’ailleurs un réel ­clivage entre le nord et le sud de la France : Toulon, Nîmes et Marseille sont encore moins bien placées que Nice.

Depuis 2008, le maire a pourtant fait un effort pour réduire les listes d’attente. Plusieurs nouvelles structures ont été créées, qui accueillent environ 470 enfants supplémentaires, dont ­plusieurs établissements mixtes ville-entreprises. Mais l’objectif des 1000 places promises par le candidat en 2008 n’est pas atteint. Résultat: avec 41 places en accueil collectif pour 100 enfants de moins de 3 ans, Nice reste loin, très loin de Tours, Rennes, Dijon, Nantes, Besançon et surtout Le Mans, où l’on atteint les 81%. Alors, en attendant mieux, et pour aider les familles, le maire a instauré une allocation de 200 euros pour les parents inscrits en liste d’attente dans les crèches municipales.   »

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/palmares-des-maires-nice-peut-mieux-faire_1495068.html#FJK1b3yS3IGvJXqZ.99

Le Collectif pour une Paix juste et durable au Proche Orient 1er mars: rendez vous mensuel pour la Palestine place Garibaldi à 17h


Le Collectif pour une Paix juste etdurable au Proche Orient vous appelle à venir nombreuses et nombreux
Samedi 1er mars au rendez vous mensuel pour 

la Palestine place Garibaldi à 17h

Participons ensemble aux     différentes actions pour

  • La libération desprisonniers
  • La campagne BoycottDésinvestissementSanctions
  • Venez encourager et saluer la seule participante niçoise à la campagne :

« Les femmes contre le blocus deGaza« 
elle sera parmi nous juste une semaine avant son départ pour Gaza

  • n’oubliez pas de signer la pétition en ligne pour demander  à Christiane Taubira l’abrogation de la circulaire Alliot Marie qui criminalise les actions de Boycott
  •          Il nous reste 15 jours pour nous mobiliser

nous devons recueillir un maximum de signatures

Merci donc, si vous ne l’avez pas encore fait, de le faire sans tarder

cliquer sur ce lien pour signer la pétition : http://www.france-palestine.org/Boycott-Desinvestissement,20332 « 

Pour une écologie, au service de l’aménagement du territoire, de l’emploi, de la santé, des transports, du logement et de la qualité de vie au sens large ( bien vivre et travailler au pays ) …

Le 30 mars 2014, votez Mon Parti c’est Nice ! Votez Olivier BETTATI !

En effet, l’écologie ne se réduit pas aux petites fleurs et à la verdure !

Il faut aller vers un  développement de l’économie verte et de l’innovation avec une dynamisation forte de l’emploi. Et tout faire pour obtenir une ville apaisée, dynamique, culturelle, vivante et attrayante pour tous, habitants, actifs y travaillant, touristes … etc.

Et que l’on n’ait pas l’impression de subir un cessez-le-feu tous les soirs vers 20 heures avec des rues désertes dans presque tous les quartiers, avec le sentiment d’insécurité qui va avec pour les plus sensibles, renforcé par la disparition des lieux de vie ( commerces de proximité, lieux de culture, espaces d’amusement pour les jeunes … )

Donc proposer un changement radical dans la gestion générale de la ville notamment dans les domaines du logement, des transports, de la gestion des finances publiques, de l’emploi, de la sécurité, de l’éthique, de l’écologie, de la défense de la culture niçoise, du vivre ensemble, de la culture, du respect de la dignité humaine, de la santé ….

Car il faut changer d’orientation dans pas mal de domaines ! Et nous aurons la possibilité de le faire en cas de réussite de notre liste « Mon parti c’est Nice » avec Olivier Bettati !

Comment y arriver ?

Il faut avant tout :

 l’établissement de la règle de marchés publics «  verts « en imposant une éco-conditionnalité dans les marchés publics ( subordonner le choix au respect des normes environnementales), et pour l’ensemble des aides et financements municipaux ( entreprises, associations … etc)

– le vote d’un PME business Act aussi pour raison écologique, et cela aidera nos entreprises locales, avec formation organisée par la commune pour les entreprises,

–  un moratoire sur les grandes surfaces ( création ou extension ) des grandes surfaces pendant toute la durée du mandat ( 6 ans ),

 la création d’un label local de qualité ( fach’ en countea ).

Et voici les grands domaines » Aménagement du territoire – Développement durable – Ecologie – Economie verte – Qualité de vie – Santé/Environnement …  » de notre future gestion municipale, sans hiérarchisation et de façon non exhaustive :

1 Aménager harmonieusement le territoire pour le bien de tous / Favoriser une économie verte pour créer de nombreux emplois

Buts : Assurer pour tous des conditions de vie, de déplacement, de logement et de travail dignes et agréables; permettre aux PME, PMI, petits commerces, artisanats de se développer, favoriser le vivre au pays, aider à l’installation du télétravail, protéger nos terres nourricières et aider à l’installation d’agriculteurs, avoir plus de végétal et moins de minéral.

Moyens :

1.1 Revoir entièrement l’OIN ( voir par ailleurs projet spécifique ) afin de préserver la fonction nourricière et hydraulique de la Vallée du Var, stopper le déplacement du MIN,  pérennisele devenir du stade du Ray avec conservation et ouverture au public, de 2 bâtiments, de terrains de sport  et de zones vertes, création de parkings … etc ( voir par ailleurs projet spécifique );

1.2 Réussir la proximité avec des zones de services décentralisés dans les Mairies d’arrondissement pour relocaliser les services anciens et nouveaux aux citoyens ( PMI, accompagnement des aidants des seniors dépendants et des handicapés, emploi, éducation, sécurité, santé, services décentralisés, démarches administratives, éducation à la santé et à la consommation, associations, lieu de rencontre inter-générationnels … ), avec camionnettes d’action « polyvalente » pour tout réparer ou changer rapidement;

1.3 conserver et reconquérir des zones à vivre, attrayantes et végétalisées, stopper l’étalement urbain et construire la ville sur la ville avec un nouveau Consiglio d’Ornato architectural et végétal; développer un éco-quartier à Nice est;

1.4 Créer des emplois par l’Economie verte dans chaque arrondissement :

– Produire localement des ENR – énergies renouvelables ( voir plus loin ) ,

– Redévelopper la filière bois, et créer une filière « réhabilitation et isolation des bâtiments » ( chanvre, liège … );

– Promouvoir la gastronomie et la production alimentaire locale, bio et les circuits courts;

– favoriser les cultures nourricières : cultures potagères généralisées (  toits, plates-bandes, jardins partagés, jardins citoyens …etc ); développer l’utilisation et la culture en coopératives des fibres naturelles ( chanvre, lin, laine … );

– revoir entièrement le traitement des déchets avec baisse du volume de collecte à la source, compostage, pesée-embarquée, recyclage avec fabrication locale .. etc ( voir plus loin );

1.5 – Création d’un Pole municipal central spécialisé « ENR – Energies Renouvelables » facilitateur et incitateur, et en Mairies d’arrondissement pour aider les formateurs ( des écoles à l’Université ), particuliers, chercheurs, entreprises, syndics, promoteurs…, et inciter à créer une Charte de fiabilité en cas de faillite;

1.6 Promouvoir le tourisme vert : circuit vert dans la ville ( arboretums décentralisés ) maisons d’hôte, Bed and breakfast bio, découvertes naturelles maritimes …;

1.7 Elaborer des Projets Utiles à Dimension Humaine, culturels, créateurs d’emploi, pédagogiques et touristiques pour chaque arrondissement :

– Grand hall d’exposition au-dessus de la Gare St Roch ( foires ),

– Cité des Sciences ( naturelles / Musée Barla, Arboretum et Planétarium ),

– Solar Valley,

– Cité de la Santé …

2 Produire et consommer l’énergie autrement 

Buts :

La ville doit donner l’exemple à travers tous ses bâtiments publics.

autonomie énergétique à moyen terme ( dépendance actuelle des autres départements : 90% ), baisse de ces dépenses financières in fine pour les foyers, diminution de la consommation, développement des ENR et rénovation thermique des bâtiments

Moyens :

– création d’une société d’économie mixte pour le développement de la transition énergétique où l’animateur est la municipalité et son Pôle Energies, pour aider les adhérents ( particuliers, commerçants, supermarchés, artisans, PME ) à réussir leur transition énergétique avec stabilité des prix, sans profit à tout prix …

– facilitation des achats groupés et proposer des installateurs et des maîtres d’oeuvre : aide à établir l’appel d’offres, aide au choix des prestataires en fonction de critères stricts, : la mairie doit avoir le rôle de facilitateur. et donner l’exemple

– réhabilitation de l’habitat ancien ( 90% du parc ) et aide à la construction de bâtiments à énergie positive, équipement en ENR de tous les bâtiments de la Métropole, ombrières de parkings, efficacité énergétique et expansion des énergies renouvelables majeures ou mineures, avec :

– aide à la création de filières complètes de A à Z et locale ( Recherche et développement, fabrication de matériels avec PME, PMI, start-up, formation de professionnels de tous niveaux du CAP au doctorat ) : SOLAR VALLEY,

– création d’un Pole spécialisé centralisé et aussi en Mairies d’arrondissement ,

– aide à l’installation de microturbines ( eau potable et eaux usées ), microéoliennes … etc,

– développement de la production et de la récupération de biogaz, technique de méthanisation volontaire qui peut s’appliquer aux ordures ménagères brutes ou à leur fraction fermentescible  ( uniquement pour les décharges anciennes et les boues des stations d’épuration. ),,

– coopération avec Enercoop, Energie partagée … etc,

– aide à l’utilisation de la géothermie avec eau ou terre ( immeuble sur nappe pas trop basse ),

– récupération de la chaleur des eaux usées ( hôpital, gros immeubles, bâtiments utilisant eaux chaudes : restaurants, centre commerciaux …  ),

– récupération du bois ( bois d’oeuvre 50% de la souche et les autres 50% sont des déchets de bois ), palettes, bois de récupération, vieux meubles ( fabrication de granulés ou de pellettes pour bruler dans des chaudières ).

– aide à la diminution de la consommation et à la chasse au gaspillage.

3 Améliorer enfin la qualité de vie

Buts :

– participer à l’augmentation de l’espérance de vie en bonne santé qui a tendance à diminuer ( 62 ans environ ), assurer l’amélioration de la qualité de vie, recréer du lien social ( ex. fêtes de quartier ) et obtenir un bien vivre ensemble ( découverte des cultures voisines ou plus lointaines ), protéger notre environnement privilégié avec protection de la terre, de l’air, de l’eau et donc éviter sa marchandisation ,

– assurer le maintien de notre bonne santé globale par la reconnaissance des rapports étroits entre la santé et l’environnement : par exemple, Nice est une des villes les plus polluées d’Europe ( pollution de l’air – microparticules…) alors qu’elle n’a pas d’industrie polluante; lutter contre le CO2,

– limiter la pollution par les ondes électromagnétiques en imposant aux installateurs d’antennes pour les toits de la collectivité une moindre puissance,  et revoir la Charte de recommandations environnementales entre la mairie et les opérateurs,

– mettre en place entre eux et les riverains des instances de concertation avant chaque projet d’installation.

Moyens :

– reconnaissance de la santé de la population au rang de priorité dans toutes les décisions municipales ayant un impact sur la qualité de l’air

– promotion de la prévention primaire ( éviter l’apparition de maladies ) avec propositions et prises de décisions qui s’imposent

– suppression à terme les substances CMR ( cancérogènes, mutagènes, reprotoxiques ), les perturbateurs endocriniens, les microparticules pathogènes ( diesel, mazout, kérosène ), le dioxyde de carbone, les ondes électromagnétiques, les nuisances sonores, le dioxyde de carbone … etc,

– développement d’un autre regard sur l’animal et une autre pratique ( respect, civisme, places réservées, partage harmonieux de l’espace ).;

– le Maire et son équipe doivent promouvoir le civisme et le respect mutuel avec volonté d’apaiser et de réconcilier, et aide et conseils aux associations qui y travaillent.

Aller vers une politique des transports digne de la 5ème ville de France

Buts :

Diminuer le trafic des automobiles et des camions en ville,

– faciliter la diminution des trajets quotidiens intra-urbains en voiture,

-diminuer la forte pollution atmosphérique : Nice étant une des villes les plus polluées d’Europe alors qu’elle n’a pas d’industrie,

Moyens :

– gestion globale du plan de déplacement et de stationnement urbain et réaménagement de l’ensemble du système de transport,

– développement massif de transports non polluants ( personnes et marchandises ), collectifs et individuels et encouragement du télétravail,

– réfection de la voirie et des trottoirs après état des lieux complet dans chaque arrondissement,

– tram ligne 1 : tramway jusqu’à l’Ariane et La Trinité, comme il était prévu,

– ligne 2 d’Est en Ouest, à réaliser rapidement, et non souterraine, pour rattraper l’énorme retard ( rien ou presque en 6 ans : 4 fois moins de kilomètres qu’à Bordeaux, parti en même temps, donc tardivement, à population égale ); et arrivant à la gare de Riquier, et y raccorder un réseau de bus navettes collinaires avec grande fréquence et plus grande amplitude de service,

– développer ce qui peut améliorer les flux de circulation, le télé-travail, le covoiturage et l’auto-partage (qui permet de diminuer le nombre de voitures à garer dans Nice),

– révision globale du plan de transport collinaire par bus, à améliorer sérieusement, car pas fonctionnel du tout, en renforçant la fréquence des bus à certaines heures et en élargissant l’offre jusqu’au soir; ailleurs éviter des bus surchargés et trop espacés, mettre 2 tarifs expérimentaux ( bus, tram ) avec un « tarif résident autochtone » pour résidents pays Niçois et un « tarif général » pour les autres ( ou expérimentation de la gratuité pour les résidents ),

– utilisation systématique du train en intra-urbain ( fret et passagers ), y compris le train des Pignes avec doublement de la ligne ( gare du Sud plan du Var );

– création de nouveaux parkings relais ( bus, tram ),

– BHNS à installer (bus à haut niveau de service ) sorte de tram sur roues à coût nettement inférieur, électrique, pour certaines dessertes,

– véhicules de location électriques ou à air comprimé ( Peugeot-Dong Feng, Tata Motors ) encouragés avec énergie renouvelable par toits sur parkings et ailleurs ( ombrières ),

– navettes maritimes électriques ( passagers et fret ),

– parkings de dissuasion plus nombreux y compris pour prendre les bus ( agrémentés avec services : garde d’enfants … ),

– zone à 30km/h à de nouveaux endroits sensibles,

– pistes cyclables sécurisées, paysagées et en continuité, et zones à trente km/h complétée; se doter d’un système de parking à vélos sécurisé, et mettre en place un réseau de vélos bleus électriques à partir du bas des collines,

– grande gare d’autobus à rétablir,

– gratuité de l’autoroute de contournement à négocier pour les habitants du pays niçois,

– diminution des camions de fort tonnage en ville avec création d’une plate-forme de stationnement et de déchargement en périphérie avec véhicules utilitaires électriques en relais.

– centre ville réservé le plus possible aux résidents et découragement du stationnement des bus de tourisme dans la ville, comme cela se fait un peu partout (parc de stationnement à la périphérie proche d’une station de tram ou de bus de la ville).

Logement – Urbanisme : là aussi il y a beaucoup à réaliser

Buts :

créer un nouvel urbanisme écologique, respectueux de l’humain et de notre histoire pour tous, construire en hauteur par endroit,

entreprendre une politique foncière qui permette le développement :

– de l’habitat participatif, afin que des éco-habitats groupés se créent, permettant du lien et de la mixité (locaux d’activités artisanales ou culturelles, locaux associatifs, logements pour jeunes et retraités permettant la solidarité intergénérationnelle, chambres d’hôtes).

– des éco-quartiers  chaque fois que cela est possible.

Logement social : à revoir entièrement avec :

– réhabilitation de certains endroits abandonnés,

– suppression des « zones de non droit »,

– recréer des conditions de vie dignes partout,

– aide des locataires à l’acquisition …

Moyens :

– faire un bilan de l’existant,

– recréer un Consiglio d’Ornato afin de conserver et protéger notre patrimoine, la qualité de vie ( arcades, arbres pour protéger du soleil, toits et façades végétalisées … etc ) et l’attrait touristique,

– créer un Eco-quartier : Halle Spada, Abattoirs, futur grand hall d’exposition au-dessus de la gare Saint Roch …

– aménager le Paillon jusqu’au lycée de l’Est après large concertation citoyenne et concours paysager ( et pas couvrir ! ),

– Bâtiments HQE (haute qualité environnementale), Négawatt, ou à énergie positive quand c’est possible,

– facilitation de l’éco-habitat groupé et de l’auto-promotion afin de permettre aux habitants de s’approprier la conception ou la rénovation de leur habitat.

Logement social :

– faciliter l’accès à la propriété au bout d’un certain nombre d’années de paiement du loyer,

– mettre un représentant de la mairie dans chaque commission d’attribution,

– baisser des charges en supprimant les incivilités ( pédagogie, prévention, sanctions ),

– rénover les logements et remettre un gardien-médiateur,

– faire là aussi la rénovation thermique et participer à la transition énergétique,

– gratuité du chauffage urbain produit par l’incinérateur,

 6 Gestion des déchets : tout est à revoir

Locale, écologique et générant des emplois :

– aide à la forte diminution à la source ( inciter les grandes surfaces à minimiser les suremballages ),

– filières locales de recyclage ( ex. : filière papier et isolant avec fabrication locale ),

– suppression de l’incinérateur de l’Ariane à long terme,

– incitation à la pesée-embarquée

– composteurs municipaux répartis dans tous les quartiers,

– création d’une recyclerie pour réparer et revendre à petits prix les objets en bon état relatif amenés à la déchèterie;

 récupération du papier et fabrication locale de papier recyclé,

– mobilisation pour ouvrir un Centre de Valorisation Organique.

– gratuité pour les riverains de la déchèterie de l’Ariane.

– ânes pour tondre, cochons, poules pour recyclage

7 Biodiversité : préserver et recréer

Les études scientifiques le montrent : accroître la végétation urbaine améliore la qualité de l’air et protège de l’effet d’îlot de chaleur. Préserver des sols vivants et perméables est indispensable au cycle de l’eau et prévient les inondations. Restaurer les habitats de certaines espèces, comme les pollinisateurs sauvages, est aussi un moyen de se prévenir intelligemment des pathogènes.

Par contre, à Nice, cette biodiversité est en péril et les zones Natura 2000 sont peu respectées; Il faut donc protéger ce qui reste, voire la recréer partout ou cela est possible avec par exemple :

– des arboretums d’espèces plus ou moins en voie de disparition dans toute la ville mais aussi pédagogique et localisé dans la Cité des Sciences,

— utiliser certaines espèces de plantes adaptées pour dépolluer certaines zones,

– permettre l’installation systématique de jardins partagés dans tous les arrondissements …

8 Façade Maritime : à protéger et mettre en valeur

– faire respecter la loi littorale et la continuité des sentiers de bord de mer (chemins des douaniers);

– assurer la qualité de l’eau de mer ( Haliotis à surveiller …etc )

– imposer aux plagistes privés les obligations légales de non construction (ou de non-reconstruction pour les existantes qui ont été endommagées par les coups de mer) en dur sur la façade maritime de la ville de Nice; n’autoriser que les constructions saisonnières entièrement démontables, écologiques et intégrées avec un cahier des charges très précis;

– en faire un atout du tourisme vert.

Philosophie globale

Nice ainsi redynamisée, et apaisée va devenir la véritable ville « verte «  de la Méditerranée, une ville exemplaire où il fera bon vivre, travailler, agréable à visiter. Elle deviendra un phare de l’écologie appliquée, de l’innovation et du vivre ensemble qui pourra servir de laboratoire et essaimer. En respectant sa culture, ses racines et son histoire. Et tout cela se fera en collaboration avec le tissu économique, scolaire, universitaire, professionnel et associatif local et international.

Nice va aussi devenir une ville en transition. Pour cela, la participation citoyenne en est un élément fondamental, aux côtés de la volonté politique forte de notre équipe municipale future.

La transition en question est le passage « de la dépendance au pétrole à la résilience locale ». Les Niçoises et les Niçois sont invités à créer un avenir meilleur et moins vulnérable devant les crises écologiques, énergétiques et économiques qui nous menacent en agissant tout de suite pour :

– réduire la consommation d’énergies fossiles;

– reconstruire une économie locale vigoureuse et soutenable et retrouver un bon degré de résilience par la relocalisation de ce qui peut l’être;

– acquérir les qualifications qui deviendront nécessaires.

Nice va trouver par elle-même les actions qui lui conviennent en fonction de ses ressources et de ses enjeux. Il n’y a pas de réponse toute faite. Le modèle de Transition offre un cadre de travail cohérent mais non coercitif.

 Pourquoi agir localement ?

– parce que l’économie devra inévitablement se relocaliser en grande partie;

– parce que c’est le niveau auquel les citoyens peuvent inventer des solutions bien adaptées à leur réalité et passer à l’action;

– parce que c’est souvent localement que se trouvent les personnes, les ressources et les solidarités pour agir.

– et enfin parce que nous  avons le devoir aussi de penser aux générations futures ! « 

 

LETTRE OUVERTE aux élus sur la ligne Nissa-Tenda du Comité franco-italien pour la défense et le développement de la ligne Nissa-Cuneo-Ventimiglia

1535660_1385305151725446_17357322_n« à l’attention de :

MM. les Maires de Tende, La Brigue, Fontan, Saorge, Breil-sur-Roya, Sospel, l’Escarène, Peille, Peillon, Drap, La Trinité, M. le Député-Maire de Nice

Copie à :

M. le Député-Maire de Menton, M. Le Président du Conseil général des alpes-Maritimes, MM. les Conseillers généraux des cantons traversés par la ligne Nice-Tende

Monsieur le Maire,

Notre Comité de défense, en partenariat avec d’autres associations, œuvre pour la sauvegarde et le développement de la ligne ferroviaire Nice-Tende-Cuneo/Ventimiglia.
Vous n’êtes pas sans connaître la situation catastrophique de cette ligne, en particulier depuis les 14 et 15 décembre 2013, situation encore aggravée ces dernières semaines avec l’annonce officielle le 7 février de l’interruption totale de circulation des trains Nice-Tende, due à l’éboulement au niveau de Bon Voyage, ainsi qu’au manque de rames TER…
La SNCF n’assure plus décemment sa mission de délégation de service public de desserte des usagers.

Dans cette période critique, nous sollicitons toutes les bonnes volontés politiques, associatives, syndicales, et individuelles, afin d’engager et de poursuivre toute forme d’action qui vise à redonner à cette ligne toutes les perspectives pérennes qu’elle mérite. Celles-ci avaient pourtant été actées par la Directive Territoriale d’Aménagement des Alpes-Maritimes, engagée sous la responsabilité de l’Etat et des collectivités territoriales en 2003.
Bien que bon nombre d’élus aient manifesté leur intérêt et envoyé de multiples courriers aux décideurs, force est de constater que, bien au contraire, la situation ne cesse de se dégrader.
C’est pourquoi il est indispensable que les élus s’investissent plus encore, initient et soutiennent des actions plus marquantes et visibles qui donneraient le sentiment aux administrés et aux usagers d’être pris en compte.
Aussi, nous vous proposons :
– de relayer la diffusion d’informations, par tous les moyens dont dispose une commune (affichage, mails, tracts, etc.), sur les dangers de fermeture qu’encourt la ligne, et sur les actions prévues en faveur de celle-ci ;
– de mettre en place une ou plusieurs grandes banderoles au-dessus de la route et aux abords des gares afin d’attirer l’attention d’un maximum de personnes ; tous les villages traversés par la ligne en France et en Italie pourraient arborer cette même banderole, dont le coût pourrait être pris en charge par les communes (ordre de prix : une banderole de 4 m x 1,5 m coûterait environ 60 €, à partir de 5 banderoles). Le texte pourrait reprendre l’un des messages qui figurent sur les badges ou les autocollants faits par le Comité, « Nice-Tende-Cuneo-Ventimilia ligne en danger », ou « che viva la Cuneo-Nizza », initié par le « Comitato ferrovie di Cuneo », avec qui nous avons créé le « Comité franco-italien pour la sauvegarde et le développement de la ligne », le 15 décembre 2013.
– de participer, vous et les conseillers municipaux, avec vos écharpes d’élus, aux rassemblements et manifestations futures, en France comme en Italie.
Nous vous remercions de l’attention que vous vous porterez à nos propositions dans le but d’unifier et renforcer toutes les bonnes volontés pour le bien commun de notre ligne de vie Nice-Tende-Cuneo/Ventimiglia.
Toutes propositions et initiatives sont bienvenues.

Avec nos sincères salutations,  »


Comité pour la sauvegarde et le développement
Nice-Tende en train

Comité franco-italien
pour la défense et le développement
de la ligne Nice-Cuneo-Ventimiglia
http://nice-cuneo-ventimiglia.blogspot.it/2014/02/lettre-ouverte-aux-elus-sur-la-ligne.html