Archives de catégorie : Nice Côte d’Azur et A. M.

Toute l’actualité nissarde avec mes appréciations

 » Coulée verte : Un hommage immérité à un édile récusé  » par Mari-Luz NICAISE ( EELV ) Conseillère municipale et Conseillère métropolitaine de Nice Côte d’Azur

 » Nice peut s’enorgueillir d’un tout nouveau parc urbain, baptisé « Promenade du Paillon », mais qui reste néanmoins désigné par le terme « Coulée verte ». Malgré de laides grilles qui l’enserrent sur toute sa longueur, cette promenade est infiniment plus esthétique que les horreurs de béton posées sur la couverture du Paillon et elle a été adoptée d’emblée par un public nombreux, de tous âges et aux  activités variées.

Les segments qui composent la promenade avaient des noms et la municipalité a décidé de les reconduire et donc d’apposer les plaques en conséquence …. mais il y a un hic : fallait-il les re-poser toutes. Fallait-il encore dédier un espace de la ville à Jacques Médecin? Maire de Nice durant 5 mandats, il termina chassé de la ville par des scandales en série dont nous payons encore les conséquences.

En cette veille de campagne municipale, il me parait indispensable de rappeler à tous le devoir absolu de probité de tout élu de la République.

D’où le communiqué de presse envoyé aujourd’hui.

Les plaques de la coulée verte : amnésie collective ?

« Demain mercredi 27 novembre seront dévoilées les plaques renommant les différents segments de la coulée verte.
Et nous découvrons avec une surprise mêlée d’indignation que le maire n’a pas saisi l’opportunité de cette re-nomination pour supprimer une des plaques, celle qui dédiera une partie de la coulée verte à Jacques Médecin, ancien maire de Nice.

Nous rappellerons brièvement que cet élu fut l’objet de quatre condamnations distinctes à des peines de prison et de fortes amendes : pour délit d’ingérence (1992), peine assortie à une incapacité « à jamais d’exercer aucune fonction publique », pour détournements de fonds (scandale de l’Opéra, 1995), pour abus de biens sociaux et corruption (scandale de la SEREL, 1995) et pour fraude fiscale (1998).
Rappelons aussi que cette même personne, bien qu’élu de la République, a demandé le rétablissement de la peine de mort .

Nous ne concevons pas que la réalisation d’une promenade de prestige du  centre de Nice, puisse célébrer cet édile, dont la gestion malsaine compromit gravement l’équilibre des finances de la ville et donna une image déplorable de Nice. » 

A signer : « Protéger les 8 arbres rue Ségurane du passage du tunnelier Travaux Ligne 2 TRAM » PETITION CITOYENNE NICE

https://secure.avaaz.org/fr/petition/PETITION_CITOYENNE_NICE_Proteger_les_8_arbres_rue_Segurane_du_passage_du_tunnelier_Travaux_Ligne2_TRAM/?dpygsab

Appel à recours suite à l’arrêté n° DP 06088 13 S 0982 du 13/09/2013 concernant l’abattage de 7 marronniers et 1 arbre de Judée de la rue Catherine Ségurane à NICE dû au passage du tunnelier pour la Station adressé au Maire, Préfet et Juge du Tribunal administratif selon la procédure dans les deux mois suite à l’arrêté Fin de pétition officielle le 13 Nov 2013 mais il n’est pas trop tard pour signer par la suite si nous voulons plus d’appuis pour la suite des évênements…

La pétition qui sera remise au :

1. Maire de Nice Monsieur Christian Estrosi

2. Préfet PACA Monsieur Michel CADOT

3. Juge du Tribunal Administratif PACA.

Intervention de Benoît KANDEL au dernier Conseil municipal de Nice lors du vote de la délibération qui permet a Christian ESTROSI de porter plainte contre tout élu qui contesterait les chiffres officiels de l’endettement de la Ville de Nice

Christian ESTROSI a fait voter une délibération qui lui permet désormais de porter plainte contre tout élu qui contesterait les chiffres officiels de l’endettement de la Ville de Nice ! Voici le texte de l’intervention de Benoît KANDEL au Conseil municipal de Nice.
C’est un peu long mais c’est à lire !!
« Monsieur le maire, mes chers collègues,
A l’approche du débat d’orientation budgétaire pour 2014 que nous aurons ici dans quelques semaines, vous nous proposez aujourd’hui, monsieur le maire, une délibération dont l’objet est de clore, une fois pour toute, la discussion sur les finances de notre collectivité et en particulier sur son endettement, sujet pourtant de la plus haute importance pour qui s’intéresse, un tant soit peu, à la gestion de notre territoire et au sujet, sensible entre tous, de la fiscalité locale.
Autrement dit, s’agissant des questions budgétaires, vous vous organisez pour imposer à tous les élus, au moment où le budget de l’an prochain s’apprête à être discuté, ce qui est, chacun en convient dans cette enceinte, l’un des moments politiques les plus importants de la vie démocratique de notre assemblée municipale, un « circulez, il n’y a rien à débattre » qui me laisse objectivement pantois.
Et vous le faites, qui plus est, monsieur le maire, sous la menace de poursuites judiciaires. Rien de moins !
Mes chers collègues, la délibération qui nous est présentée à l’instant n’est pas seulement « unique » au sens où elle est le seul point inscrit à l’ordre du jour de notre conseil municipal. Elle est « unique » en elle même.
Tellement unique, qu’elle en est même exceptionnelle. Exceptionnelle et presque même historique car, n’en doutez pas, elle va sans doute permettre aux comptes-rendus de nos débats d’entrer dans les annales et même, un jour, n’en doutez pas aussi, de servir de sujet de cours aux étudiants en science politique et en droit administratif et pénal, tant elle est hors du commun…
Sur le fond, cette délibération appelle de ma part 3 observations majeures :
La première de ces observations tient, monsieur le maire, à la présentation de l’endettement, que vous voulez impérativement geler une fois pour toute. Et chacun, naturellement, à l’approche des échéances municipales, peut aisément comprendre l’intérêt d’une telle démarche.
Pour autant, chacun sait bien également que les chiffres, aussi bien présentés soient-ils, ne disent pas tout. Ils ne parlent pas, et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres, de ce que j’appelle la dette masquée, dette qui constitue pourtant une réalité difficile à occulter.
Concrètement, où, dans les comptes que vous présentez, figurent les sommes qui vont être nécessaires pour la rénovation des tunnels de la Ville qui font plus de 300 mètres, celui du Paillon, celui de Malraux, tunnels qui pourraient être fermés dans les proches années à venir si les travaux de sécurisation rendus obligatoires par la loi du 3 janvier 2002 ne sont pas réalisés très vite par notre collectivité.
Rien que pour le tunnel Malraux, il y a en a au bas mot pour 24 millions d’€. Rendez-vous compte, cela représente presque une année complète d’entretien de la totalité des axes routiers de la ville de Nice ! Le tunnel du Paillon nécessitera quant à lui des sommes très certainement encore plus élevées.
Est-il interdit d’évoquer ce sujet pendant le débat budgétaire de la ville et de la métropole ? Est-il raisonnable de ne pas intégrer ces dépenses obligatoires dans notre débat et ce, même si les textes ne nous y obligent pas expressément ?
En matière de dette masquée, il y a aussi, autre exemple, les efforts, que nul ne conteste sur le fond naturellement, qui doivent être réalisés avant 2015 dans le domaine de l’accessibilité en matière de bâtiments et de transports pour les personnes en situation de handicap. Beaucoup de choses ont été faites pour rattraper le retard pris dans ce domaine, c’est vrai, mais beaucoup restent encore à faire. Ces travaux indispensables représentent des dépenses à la fois obligatoires et très lourdes qui n’apparaissent pas – et pour cause – dans la dette officielle. Est-il néanmoins illégitime d’en parler ?
Enfin, les Niçois n’ont ils pas le droit de savoir que les engagements d’investissement que vous avez pris pour 2014 auprès des 45 autres maires de la métropole avoisinent actuellement les 230 millions d’€, alors que, très vraisemblablement, à peine un peu plus de 110 millions d’€ pourront effectivement être engagés.
Certes le gouvernement socialiste, en réduisant les dotations globales de fonctionnement, en pénalisant fortement les communes qui ne respectent pas des prescriptions aujourd’hui totalement hors de portée en matière de logement social, en fiscalisant les heures supplémentaires des employés municipaux ou encore, en augmentant de 3 points la TVA sur les travaux, étrangleront un peu plus en 2014 les collectivités locales. Mais la transparence de notre débat budgétaire, une fois les contraintes imposées par l’Etat bien identifiées, oblige aussi à mettre tout à plat et à dire la vérité à nos concitoyens, notamment quant au niveau réel de notre endettement.
Comment pourra t-on le faire demain puisque vous menacez tout élu contradicteur, tout opposant politique, des foudres d’un tribunal s’il venait imprudemment à contester votre vérité fiscale officielle ?Ma deuxième observation tient aux effets de la judiciarisation du débat démocratique que vous nous proposez cet après midi.
Franchement, monsieur le maire, alors que notre justice souffre, chaque année plus encore, d’un encombrement qui nuit gravement à son efficacité et que tout le monde se plaint déjà de sa lenteur, franchement, pensez vous que l’initiative que vous prenez va simplifier la tâche déjà très ardue des magistrats ?

Il me semble, à l’inverse, qu’au moment où la délinquance repart fortement à la hausse et que les Niçois sont malheureusement de plus en plus souvent victimes d’actes de violence, il est totalement déraisonnable de vouloir accroître la charge des tribunaux en leur confier le soin d’examiner des « pseudo-contentieux » entre élus, qui ne relèvent en réalité que du débat démocratique le plus élémentaire et le plus ordinaire.
Le président de la République défend le principe d’un « choc de simplification » dans notre administration. Personne ne peut contester l’urgence de cette action, tant notre pays souffre de la lourdeur et de la complexité de procédures en tout genre. Alors, je vous le dis, avec votre délibération, monsieur le maire, vous n’œuvrez pas en faveur du désencombrement de la justice !

Enfin, et cette troisième observation n’est sans doute pas la moins importante, votre volonté de transférer les débats de l’arène politique vers l’arène judiciaire contrevient totalement à l’esprit démocratique qui devrait normalement animer le premier magistrat de notre cité.
La liberté d’opinion et la liberté d’expression sont en effet les toute premières libertés politiques. Elles sont juridiquement protégées et, en tant que telles, ne connaissent que de rares restrictions : la diffamation, la calomnie, l’appel à la violence ou encore l’appel à la haine.
Tous les autres interdits s’apparentent clairement, c’est la loi qui le dit, à de la censure.
C’est d’abord l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 qui l’affirme :
« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »
L’article 10 de la Convention européenne des droits de l’Homme et la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’Homme confirment absolument cette approche :
« La liberté d’expression vaut non seulement pour les « informations » ou « idées » accueillies avec faveur ou considérées comme inoffensives ou indifférentes, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent : ainsi le veulent le pluralisme, la tolérance et l’esprit d’ouverture sans lesquels, il n’est pas de « société démocratique ».
D’ailleurs, historiquement, les articles 10 et 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 ne disent pas autre chose :
« Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi. »
Et puisque vous évoquez dans les considérants de la délibération ce fameux risque de troubles à l’ordre public, je vous pose la question, monsieur le maire, craignez vous vraiment, à l’image de notre gouvernement actuel, que des « bonnets rouges » ou que des « bonnets verts » ou encore que des « pigeons » viennent s’exclamer sous les fenêtres de votre bureau ou perturber vos meetings et vos déplacements dans la cité, parce que vos opposants politiques les aurez délibérément trompés sur la réalité de la dette de notre collectivité ?
Cette évocation de troubles à l’ordre public pour justifier votre démarche est, je le dis, totalement dérisoire, elle est fantasmée et pour tout dire, risible.
La judiciarisation du débat politique que vous mettez en place cet après midi est très grave, d’autant qu’elle pose des problèmes d’ordre éthiques et philosophiques qu’il est difficile de passer sous silence.
A l’image de ce que Voltaire disait à propos de la lecture : « Un livre vous déplaît-il, réfutez-le par l’esprit et non par la loi », on peut clairement vous conseiller, monsieur le maire, la formule suivante : « Un débat sur la dette vous déplaît, réfutez le par l’esprit et non par la loi ».
Car, que craignez-vous en somme de cette discussion qui va nécessairement s’engager sur nos finances locales à l’approche des échéances électorales que j’évoquai tout à l’heure ?
Auriez-vous en réalité des choses à cacher ? Des craintes budgétaires inavouées et par conséquent, impossibles à révéler ?
Sur ce point, je vous renvoie à ce qu’écrivait dès 1859 John Stuart Mill, le philosophe et économiste britannique – je le cite car il a dit les choses beaucoup mieux que je pourrais le faire moi même – :
« Mais ce qu’il y a de particulièrement néfaste à imposer silence à l’expression d’une opinion, c’est que cela revient à voler l’humanité : tant la postérité que la génération présente, les détracteurs de cette opinion davantage encore que ses détenteurs. Si l’opinion est juste, on les prive de l’occasion d’échanger l’erreur pour la vérité ; si elle est fausse, ils perdent un bénéfice presque aussi considérable : une perception plus claire et une impression plus vive de la vérité que produit sa confrontation avec l’erreur. »
Enfin et même si je sais que vous n’appréciez guère qu’un élu puisse vous suggérer un conseil, je vous invite quand même, monsieur le maire, à méditer ce que Diderot écrivait sur le commerce de la librairie car cela s’applique parfaitement à la délibération que nous examinons ensemble à l’instant :
« Plus la censure était sévère, écrivait Diderot, plus elle haussait le prix du livre, plus elle excitait la curiosité de le lire, plus il était acheté, plus il était lu. ».
Autrement dit, soyez certain que plus vous chercherez à censurer le débat sur nos finances et sur notre dette, plus celui-ci va mobiliser les élus et plus il va aiguiser l’appétit de la presse !

Je vous invite donc, depuis la place que vous m’avez aujourd’hui réservée, à retirer cette délibération absurde, car, sincèrement, j’ai la conviction que c’est bien elle qui va nuire à l’image de notre collectivité.
Et si toutefois, vous la mainteniez quand même, je vous indique sans hésitation que je voterai contre.

Pour finir, mes chers collègues, comme vous le savez peut-être, Napoléon Bonaparte a dit : « En politique, une absurdité n’est pas un obstacle « . Mais, c’était Napoléon Bonaparte qui s’exprimait ainsi !
Et comme moi naturellement, vous vous souvenez que l’Empereur, lui même, a fini par trébucher, précisément à cause de décisions politiques absurdes qu’il avait fini par prendre, sans doute en raison d’une trop belle assurance et d’une perte de conscience progressive de la réalité du monde qui l’entourait.
Aussi, mes chers collègues, je vous invite à la raison et à ce que nous prenions ensemble le parti de ne pas voter « l’absurdité » que vous avez décidée, monsieur le maire, de soumettre aujourd’hui à l’examen de notre Conseil municipal.
A Nice comme partout en France, le débat politique est libre. C’est une situation au final pas si fréquente à l’échelle de notre planète. C’est pourquoi, notre devoir à tous est de rester très attentifs à ce qu’aucune pression d’aucune sorte ne soit jamais exercée contre les élus, comme il est aussi de réaffirmer haut et fort que, au bout du bout, celui qui est le seul habilité à trancher le débat politique n’est pas le juge judiciaire mais bien le citoyen électeur, auquel nous devons tous, mes chers collègues, le privilège de siéger dans cette enceinte et à qui, seul, nous avons des comptes à rendre.
Enfin, dans l’esprit de ce que je viens de dire et pour que chacun d’entre nous puisse s’exprimer sans pression d’aucune sorte, je demande, monsieur le maire, à ce que le vote auquel nous allons procéder dans quelques minutes soit effectué à bulletins secrets.
Je vous remercie de votre attention.  »

PÉTITION A SIGNER :  » Pour préserver la zone naturelle protégée des « Vallons Obscurs » à Colomars (Alpes-Maritimes) »

« Des TRAVAUX DE DÉBOISEMENT sont actuellement en cours au niveau du 80 chemin de la Sirole sur la commune de Colomars. Ceux-ci s’effectuent à PROXIMITÉ IMMÉDIATE D’UNE ZONE NATURELLE PROTÉGÉE par la richesse exceptionnelle de sa biodiversité.

La zone « Natura 2000 des Vallons Obscurs » renferme un BIOTOPE UNIQUE EN FRANCE et elle est aujourd’hui menacée. Sur les lieux, AUCUN PERMIS DE CONSTRUIRE, nous ne connaissons donc pas l’ampleur du projet.

Nous souhaitons ALERTER sur l’absence de ce permis de construire mais aussi et surtout sur L’IMPACT sur la faune et la flore liés à ces travaux.

Ce genre de projet peut causer une FORTE DÉGRADATION des milieux naturels et causer des dégâts importants dans ces zones très sensibles et protégées.

Nous demandons donc L’ARRÊT IMMÉDIAT de ces travaux jusqu’à ce qu’une ÉTUDE ENVIRONNEMENTALE, avec une évaluation des incidences, ait rendu son rapport avec un AVIS FAVORABLE. »

SIGNEZ LA PÉTITION ICI :

https://secure.avaaz.org/fr/petition/Proprietaire_du_terrain_80_chemin_de_la_Sirole_a_Colomars_AlpesMaritimes_Preservons_la_zone_naturelle_des_Vallons_Obscur/

Extension de CAP 3000 : les associations et EELV en guerre – Article de Nice Matin avec la venue de Michèle RIVASI, Eurodéputée et Pascal DURAND, Secrétaire national de EELV

Rivasi Cap 3000 nov 2013

J’ai accompagné Michèle et Pascale lors des actions et soutiens aux associations dans Nice Côte d’Azur, de Cap 3000 aux quartiers nissarts, comme à Riquier par exemple, pour soutenir la population en lutte et inquiète devant la forêt d’antennes relais qui ne cesse de s’étendre sur nos toits.

Et tout au long de la journée nous avons abordé bien d’autres thèmes et différents problèmes subis par la population niçoise, en essayant d’apporter des solutions ou des pistes pour agir. L’article de Nice Matin par exemple reflète une partie de ces actions pour lesquelles j’agis depuis de très nombreuses années en lien avec nos partenaires nationaux ou européens.

http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/europe-ecologie-michele-rivasi-et-pascal-durand-a-saint-laurent-du-var-contre-lextens.1505381.html

« Jeudi 31 Octobre 2013 à partir de 15h à Nice : Une bouffée d’air dans la ville !  » Communiqué de presse du Comité de quartier Saint Roch Vauban

« 16h Conférence de presse
16h30 Tour du quartier en musique – Apéro convivial
Les habitants, amoureux du quartier Saint Roch de jadis, avec le Comité de quartier Saint Roch – Vauban, soutenus par l’association des « Jardins Partagés de Terra Segurana » se mobilisent afin de protéger leur beau quartier,  leur patrimoine et éviter la bétonisation de la dernière parcelle agricole, historiquement  « jardin ouvrier de Saint Roch »,  destinée à devenir un rond point inutile.
Et ce, malgré les centaines de signatures et lettres aux différents organismes concernés.
Cette parcelle de 350 m² est complantée de vignes de framboises,  d’un avocatier magnifique et contribue à maintenir un équilibre indispensable à la Vie. Elle se situe à l’angle des rues Mgr Daumas et Mal Vauban, au Sud de l’Eglise Saint Roch.
Une association de Jardins Partagés va naitre et permettre aux riverains de cultiver leurs légumes et de redonner à tous le goût du manger sain et local.
Venez nombreux participer à la réappropriation citoyenne et la remise en culture de votre patrimoine commun dans une ambiance festive et musicale.
Deux caroubiers seront plantés symboliquement en ce jour.

Jeanine COSTAMAGNA  et André MINETTO « 

Visite du centre et présentation du projet de Centre socioculturel et cultuel de Nice – La Plaine « EN-NOUR » dimanche 6 octobre à 15h à Nice

« Le Centre socioculturel et cultuel de Nice La Plaine « EN-NOUR »
Et son comité de soutien
Ont le plaisir de vous inviter à une visite du centre et à la présentation du projet qui se composera de :
Une grande salle de prières, une bibliothèque, des salles de cours (soutien scolaire et langue arabe), de conférence, une cafétéria…
Le dimanche 6 octobre 2013
A 15heures
Venez nombreux avec vos familles
1, Avenue Emmanuel Pontremoli, 06200 Nice
(Prolongement du Bd Paul Montel, en face du concessionnaire automobile Ford)
Pour tout contact : B. Mahmoud : 06 51 80 08 26 »

« L’appel régularisé contre le passage en souterrain de la ligne 2 du Tramway » par Marc CONCAS, Conseiller Général ( PS )

A lire en entier sur le site de Marc :

http://www.marc-concas.com/spip.php?article63

« Le Tribunal administratif de NICE, par un jugement du 25 juin 2013, a rejeté notre recours contre la DUP du Tramway, sans répondre aux questions essentielles qui lui ont été posées, et particulièrement celles relatives aux expertises hydro-géologiques.

Nous avons donc régularisé un appel et je me permets de vous annexer ci-dessous le texte intégral de ce recours.

Bon courage pour la lecture, il fait 100 pages !

Je vous tiendrai comme toujours informés du suivi de cet important dossier pour le devenir de notre quartier.

Cour Administrative d’Appel de MARSEILLE

Appel c/ jugement du TA de NICE du 25 JUIN 2013 Bouloudhnine et autres c/ Etat et Métropole NCA

REQUETE D’APPEL

A Mesdames et Messieurs les Présidents et Conseillers composant la Cour Administrative d’Appel de MARSEILLE POUR

• Monsieur Marouane BOULOUDHNINE, né le 8 mars 1962 à TUNIS, de nationalité française, Chirurgien orthopédiste, Conseiller Municipal de NICE, Conseiller Métropole Nice Côte d’Azur, demeurant à NICE – 06000, 4 corniche des Oliviers.

• Monsieur Marc CONCAS, né le 20 novembre 1959 à TUNIS, de nationalité française, avocat, Conseiller Général des Alpes Maritimes, demeurant à NICE – 06000, 4 rue Blacas.

• Monsieur Hervé DE SURVILLE, né le 4 janvier 1962 à AIX EN PROVENCE, de nationalité française, consultant, membre de l’Entente Républicaine de NICE, demeurant à NICE – 06200, 123 avenue Durandy.

• Madame Frédérique GREGOIRE-CONCAS, née le 9 janvier 1970 à MONACO, de nationalité française, avocate, conseillère municipale de NICE, Conseillère Métropole Nice Côte d’Azur, demeurant à NICE – 06000, 4 rue Blacas.

• Madame Mari-Luz HERNANDEZ NICAISE, née le 20 août 1939 à Douarnenez – Finistère (29), de nationalité française, Professeur retraité, conseillère municipale de NICE, Conseillère Métropole Nice Côte d’Azur, demeurant à NICE – 06100, 7 Avenue Castellane.

• Monsieur Jean Auguste ICART, né le 27 mai 1947 à NICE, de nationalité française, Conseiller Général des Alpes Maritimes, demeurant à NICE – 06000, 11 rue Tonduti de l’Escarène.

• Monsieur Patrick MOTTARD, né le 9 novembre 1951 à MACON, de nationalité française, Professeur d’Université, Conseiller Général des Alpes Maritimes, demeurant à NICE – 06000, 6 avenue Bardi.

• Monsieur André MINETTO, né le 28 mai 1957 à NICE, de nationalité française, chirurgien dentiste, Délégué Europe Ecologie les Verts, demeurant à NICE …  »