Archives de catégorie : Énergies

PARTICIPEZ À LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE… soutenez les projets citoyens d’énergies renouvelables

Energie Partagée : L'investissement citoyen

ENERGIES PARTAGEES

Appel aux réseaux, publications, organisations engagés pour La Transition Énergétique

Énergie Partagée, mouvement citoyen qui accompagne et finance des projets locaux de production d’énergies renouvelables et de maîtrise de l’énergie, a lancé sa première collecte d’investissement citoyen auprès des particuliers et des organisations à l’automne 2011.

Cet appel à l’épargne solidaire s’achèvera en septembre 2012 1, avec un objectif de 3 millions d’euros. Nous en sommes aujourd’hui à près de 800 000€.

Il nous reste donc encore à mobiliser et informer largement autour de cette opération afin de collecter plus de 2 millions supplémentaires dans les 4 mois à venir.
Les 3 millions d’euros rassemblés permettront, par effet de levier, de financer de 27 à 30 millions d’euros de projets d’énergies renouvelables et d’efficacité énergétique d’initiative citoyenne 2 .

Atteindre l’objectif de cette première collecte constitue un enjeu majeur.
Nous démontrerons ainsi que l’implication citoyenne est une réalité, une voie nouvelle, innovante, dynamique pour accompagner la production décentralisée de l’énergie.
La Transition Énergétique implique une réappropriation sociale de ces problématiques, historiquement confisquées au nom d’une politique énergétique centralisée exclusive, au détriment des territoires. L’implication publique et citoyenne dans les projets d’énergies renouvelables et d’économies d’énergie permettra d’améliorer les retombées économiques locales et de conforter leur bonne intégration territoriale.

La Transition Énergétique est une nécessité, l’implication citoyenne via Energie Partagée représente une des conditions permettant d’opérer le basculement des politiques énergétiques.

Au-delà de la réponse nécessaire aux besoins de financement des projets actuellement accompagnés par le mouvement Énergie Partagée, il est déterminant de réussir ce premier appel à souscriptions pour poursuivre sereinement la collecte et faire émerger d’autres projets citoyens, comme le fait Terre de Liens pour les terres agricoles 3.

Énergie Partagée soutient déjà des projets par des apports en fonds propres, par exemple :
Parc éolien citoyen de Béganne, en pays de Vilaine,
Toiture solaire sur le lycée Agricole de St-Gervais-en-Auvergne.

Énergie Partagée est en France le seul outil d’investissement dans les énergies renouvelables et de maîtrise de l’énergie qui soit Citoyen4 et Solidaire 5.

APPEL est donc lancé à tous les réseaux, publications, organisations, ONG… pour relayer le message d’Énergie Partagée :

Ensemble, devenons coproducteurs des énergies citoyennes !

Energie Partagée : L'investissement citoyen

Une excellente mesure du programme énergétique de François HOLLANDE : lancement du débat national sur la transition énergétique

Parmi toutes les mesures des premiers temps de HOLLANDE, une qui est capitale sur le plan énergétique : « __ENTRE LE 3 JUILLET ET LE 2 AOUT (session extraordinaire du Parlement)__ __- lancement du débat national sur la transition énergétique préalable à la loi de programmation, avec notamment « plan massif » de rénovation thermique des logements__. » Et puis, aussi, __faire de Fessenheim « un site pilote pour la démantèlement des centrales en fin de vie »__ c’est déjà tout un programme ! Un tournant en France : Ça serait en effet une première en France d’aller vers « un site pilote pour la démantèlement des centrales en fin de vie ». C’est un changement d’orientation total. %%% On ne parle plus, comme à l’UMP, de prolonger les vieilles centrales dangereuses, toxiques, de plus en plus coûteuses ( à l’état « normal », mais aussi pour mise aux normes pourtant insuffisantes ) et grosses consommatrices d’eau, alors que nous allons vers une période de sécheresse. __Et on suit l’opinion publique, hostile au nucléaire, avec raison__. Hostile comme l’opinion publique dans tous les autres pays « nucléarisé », souvent à leur insu et sans choix démocratique. De même que de parler de réduire à 50% la part du nucléaire d’ici 2025, au lieu de 75% ( voire certainement plus, s’il n’y a pas de catastrophe majeure d’ici là ) c’est peut-être « irresponsable » ( pour E. BESSON ) mais c’est surtout un changement radical qui devrait nous convenir pour l’instant. Après une fois qu’on inverse la vapeur, le processus s’enclenche et les esprits évolueront quand ils découvriront tous les bénéfices. Et à la fin, un rappel de la proposition de Sarkozy, pour ceux qui ont des fuites de mémoire ! %%% Pour pouvoir bien comparer … et bien choisir dimanche. Et pour EELV, au sujet d’une participation éventuelle au gouvernement. Il nous faut choisir et savoir si nous voulons aider Hollande, en le poussant un peu si besoin est, ou si on le laisse seul face au lobby nucléaire ( industriel et politique, très large et de toute les couleurs ) ! %%% Face au lobby Gaz de Schiste. %%% Et aux face autres lobbies pour le reste : social, santé-environnement, géopolitique, Economie Sociale et Solidaire, proportionnelle, régionalisation, démocratie locale, intégrité en politique, solidarité … etc, etc Et l’article du __[FIGARO|http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012/02/12/20002-20120212ARTFIG00083-sarkozy-veut-prolonger-la-vie-des-centrales-nucleaires.php|fr]__ : __Sarkozy veut prolonger la vie des centrales nucléaires__

Communiqué de presse EELV « Efficacité énergétique en Europe : le gouvernement français saborde le navire avant de le quitter »

((/agora/images/EELV logo définitif – copie.jpg)) Efficacité énergétique en Europe : le gouvernement français saborde le navire avant de le quitter L’efficacité énergétique fait l’objet de discussions âpres à l’échelon européen. La France y prend une place « particulière » en étant le principal Etat membre qui cherche à saborder les ambitions de la Commission européenne et du Parlement. La Commission Européenne, soutenue par le Parlement, souhaite rendre contraignant l’objectif d’efficacité énergétique du paquet « climat énergie ». Une nouvelle directive prévoit l’adoption d’outils concrets, telle la réduction obligatoire des volumes pour les énergéticiens, l’obligation de rénover annuellement 3% du des bâtiments publics, etc… Or, par différents artifices et des arguments fallacieux, la France cherche à vider le texte de sa substance, au point de mettre en danger le processus de discussion. Le second enjeu porte sur le fonds européen FEDER – fonds européen de développement régional – La Commission européenne propose le fléchage de 20% du prochain budget vers l’efficacité énergétique, ce qui est une proposition indispensable pour que l’Union Européenne atteigne ses objectifs. Plusieurs Etats membres, en tête desquels la France, ne veulent pas en entendre parler. Pour Europe Écologie – les Verts, la position des négociateurs français à Bruxelles sur l’efficacité énergétique est inadmissible. Le gouvernement français devrait impérativement faire adopter par son administration une position conforme aux engagements souscrits par la France lors du Grenelle et de l’adoption du paquet Climat-Energie. EELV se désespère que sur un tel sujet d’intérêt général, le tandem Fillon-Sarkozy saborde le navire avant de le quitter. « 

Communiqué des élus EELV membres de CLI (commissions locales d’information ) « En France, tirons toutes les conséquences de la catastrophe de Fukushima »

 » Alors que la vérité se fait jour à Fukushima, les élus EELV interpellent l’Autorité de Sureté Nucléaire Les élus Europe Ecologie les Verts membres de commissions locales d’information (CLI) des installations nucléaires françaises dénoncent les silences des autorités japonaises sur le déroulé de la catastrophe de Fukushima et ses conséquences. Pour autant, les informations déjà vérifiées suffisent à dresser un bilan environnemental et sanitaire dramatique pour les populations. En France, ce bilan constitue un argument supplémentaire pour engager immédiatement une transition énergétique permettant la sortie du nucléaire, mais aussi un renforcement majeur de la sécurité des installations existantes dont l’arrêt et le démantèlement se dérouleront sur plusieurs décennies. Que s’est-il vraiment passé à Fukushima ? Aujourd’hui, non seulement les réacteurs ne sont toujours pas sous contrôle et continuent à dégager des composants fortement radioactifs, mais il apparaît que la population a été gravement désinformée. Plus de 500 000 personnes vivent dans des zones fortement contaminées. La ville de Fukushima située à 60 kilomètres de la centrale n’a pas été évacuée. Pourtant les doses de radioactivité que reçoivent les habitants sont telles que les conséquences sur leur santé sont certaines. Quelques jours après l’accident, une première estimation pour la seule zone de Fukushima calculait déjà un risque de plus de 400 000 cancers supplémentaires 1. %%% Plus grave, plusieurs scientifiques reconnus apportent des éléments qui pourraient remettre en cause certaines explications données par les autorités japonaises et reprises par leurs homologues américains et français : – Des retombées d’uranium et de plutonium 238 ont été mesurées à des distances de 45 kilomètres des réacteurs de Fukushima ; a priori ces retombées ne peuvent résulter que d’une réaction de « criticité instantanée », désintégration radioactive et explosion d’assemblages d’un cœur de réacteur et/ou de combustibles stockés en piscine 2. %%% – La piscine de stockage du combustible située dans le réacteur n°4, qui contenait un cœur de MOX récemment déchargé et 200 tonnes de combustible nucléaire, n’aurait pas été le siège d’une « explosion d’hydrogène », mais d’un incendie avec excursion nucléaire. %%% Ces informations ont été développées, témoignages et documents à l’appui, dans le documentaire « Enquête sur une super-catastrophe nucléaire » (NDR/Arte) diffusé le mardi 6 mars 20123. Les scientifiques interviewés prennent cette hypothèse d’explosions résultant de réactions de criticité comme probable. Elle entrainerait des conséquences beaucoup plus graves que celles déjà constatées. Aujourd’hui, c’est une part très importante du territoire japonais qui est contaminé en « tache de léopard », notamment parce que les particules de type Cesium 134 et 137 sont très volatiles. Les premières séries de mesures validées scientifiquement tendent à confirmer cette pollution radioactive très étendue4. Des mesures indépendantes ont montré que des légumes issus de champs cultivés à plusieurs centaines de kilomètres de la centrale sont contaminés. Chaque jour, les 35 millions d’habitants de l’agglomération de Tokyo doivent consommer des aliments potentiellement contaminés et non contrôlés, sauf à exclure tous produits japonais… L’IRSN, dans le rapport de M. Thierry CHARLES (CEA-IRSN) du 28 février 2012 avance avec précaution, (sans citer les sources qui ne sont en fait que celles de TEPCO), que les piscines des réacteurs n°3 et n°4 seraient en « état a priori correct (ruptures de gaines ?) ». L’interrogation de l’IRSN est bien la preuve de son incertitude sur l’état de ces piscines5. De même, l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) n’a pas apporté de preuve qu’il n’y ait eu que des « explosions d’hydrogène ». Le documentaire d’Arte est resté sans aucun commentaire de la part de l’ASN, de l’IRSN, et bien sûr d’AREVA fournisseur du MOX de Fukushima. Si elles se vérifient, ces informations changeraient la nature de l’accident de Fukushima. Les faits avancés sont suffisamment graves pour qu’ils exigent des explications sur l’état des connaissances de l’ASN sur les scénarios des explosions de Fukushima et les retombées de plutonium. Raymond Avrillier, militant écologiste spécialiste du nucléaire, avait déjà demandé à l’ASN début avril 2011 de fournir les informations sur les scénarios de criticité instantanée, en particulier des réacteurs 3 et piscine 4, sans réponse à ce jour. Les élus écologistes membres des Commissions locales d’Information (CLI) auprès des installations nucléaires françaises demandent à l’Autorité de Sureté Nucléaire (ASN) de faire rapidement la lumière sur ces scénarios en lien avec les autorités japonaises. S’ils se confirmaient, ce serait une grave mise en cause des autorités japonaises mais aussi d’AREVA, très présent à Fukushima. %%% Ainsi, la catastrophe de Fukushima commence à apparaitre comme une « super-catastrophe » d’une technologie et d’un système dont la réalité et les conséquences dramatiques continuent à être cachées par le lobby nucléaire. La gestion de la catastrophe s’est clairement révélée défaillante6. Et aujourd’hui, le vaste plan de décontamination des sols annoncé par le gouvernement japonais apparaît jour après jour comme une mascarade : il faudrait des dizaines d’années pour dépolluer les 30millions de m3 de terre et de matériaux contaminés sans solution pérenne de traitement et de stockage 7. En France, tirons toutes les conséquences de la catastrophe de Fukushima Nous demandons une nouvelle approche des questions relevant de la sureté nucléaire des installations françaises. Dès à présent, deux points doivent-être totalement revus : – Il n’est plus possible de limiter les plans d’intervention et les exercices de sureté aux seuls périmètres des Plans Particuliers d’Intervention (PPI) de quelques kilomètres autour des centrales. Après la catastrophe de Tchernobyl, celle de Fukushima vient nous rappeler que la dispersion d’éléments radioactifs n’a pas de frontière. Il est aujourd’hui urgent d’élargir les périmètres des PPI et de travailler sur des scénarios incluant l’éventualité d’évacuation complète des plus grandes agglomérations françaises comme celle de Lyon (à 30 kilomètres de la centrale du Bugey) ou de Bordeaux (à 40 kilomètres de la centrale du Blayais). – Il n’est plus possible de travailler sur des scénarios seulement techniques liés principalement aux risques naturels : il faut intégrer le facteur humain. Dans les scénarios d’accidents majeurs étudiés par l’ASN, ce facteur humain n’est pas suffisamment pris en compte ni dans les causes possibles (défaillance humaine, risque terroriste, …) ni dans la gestion de crise (c’est-à-dire dans les capacités d’intervention en environnement très dégradé). __Les simulations et exercices de sécurité sont totalement insuffisants. Pour se rapprocher d’une situation réelle d’accident, ils doivent changer de nature et d’ampleur : les intervenants extérieurs comme les pompiers ou la gendarmerie ne doivent, par exemple, pas être systématiquement prévenus, …__ A Fukushima, nous savons déjà que les centaines d’intervenants au moment de l’accident ainsi que les 3 000 liquidateurs actuels ont été, et sont encore, exposés à de très fortes radiations, avec des conséquences certaines sur leur santé. Qui en France sera prêt à ce sacrifice en cas d’accident nucléaire ? Après les catastrophes de Tchernobyl, Three Mile Island et Fukushima, la transition énergétique, la sortie progressive du nucléaire et la sécurisation des installations jusqu’à leur démantèlement définitif, deviennent un impératif de civilisation.  » Les élus Europe Ecologie les Verts membres de CLI auprès des installations nucléaires françaises. 1 %%% http://www.next- up.org/pdf/Chris_Busby_Radiation_Fukushima_et_cancers_417000_cas_prevus_2061_zone_contaminee_200km.pdf 2 %%% Publication dans la revue de référence scientifique Nature, décembre 2011 3 %%% Documentaire d’ARTE du 6 mars 2012 « Enquête sur une supercatastrophe nucléaire » : http://videos.arte.tv/fr/videos/enquete_sur_une_supercatastrophe_nucleaire-6439122.html 4 %%% http://www.lemonde.fr/japon/article/2012/02/28/un-an-apres-fukushima-la-contamination-est-chronique-et- perenne_1649553_1492975.html 5 %%% Présentation de de Thierry Charles, Directeur général adjoint chargé de la sûreté des installations et des systèmes nucléaires à l’IRSN, lors du point presse du 28 février 2012 à Paris : http://www.irsn.fr/FR/base_de_connaissances/Installations_nucleaires/La_surete_Nucleaire/Les-accidents- nucleaires/accident-fukushima-2011/fukushima-1-an/Pages/1-surete.aspx?dId=c08bb96e-cf42-4798-a34b- f647bdd05dea&dwId=ff994e1f-9e94-41b6-ac38-4877daa3b796 6 %%% http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20111202trib000668489/fukushima-tepco-n-a-pas-eu-de- plan-de-gestion-d-accident-.html 7 %%% http://www.sciencesetavenir.fr/crise-nucleaire-au-japon/20120307.OBS3181/a-fukushima-une-decontamination-a- marche-forcee.html

Du jeudi 26 au dimanche 29 avril 2012 Tchernobyl, Fukushima : plus jamais ça ! Après la mobilisation historique du 11 mars, poursuivons notre action ! Le 28 : Mouans Sartoux à 11h et Nice à 14h

Appel 2012 Participez aux journées d’actions internationales pour la sortie du nucléaire !

A Mouans Sartoux :

Attac organise avec Citoyen, EELV, Greenpeace, réseau Sortir du Nucléaire, Maison du Commerce Équitable une chaine humaine contre le nucléaire le samedi 28 avril (de 11h à 12h) sur le boulevard urbain à Mouans Sartoux à partir du rond point des droits de l’enfant devant la Strada.
Cette action s’inscrit dans le cadre de la semaine internationale d’actions pour commémorer la catastrophe de Tchernobyl. Il vous est demandé de venir à 11h avec son gilet jaune et un masque (pour ceux qui n’en ont pas, en pièce jointe, vous trouverez un modèle très facile à faire.
C’est une manifestation silencieuse sans distribution de tract: les panneaux et les masques parleront d’eux même. 2 banderoles de 3m*0,5m  » Non au Nucléaire » offertes par la mairie de Mouans seront placées aux deux extrémités du boulevard urbain.

A Nice :

Et à 15h à Nice Greenpeace organise une manifestation en détournant le symbole chinois des singes de la sagesse pour traduire l’irresponsabilité des candidats qui ne veulent pas :
– voir le risque nucléaire en face,
– entendre les leçons de Fukushima.
– dire la vérité.
Les militants du groupe local de Greenpeace et les personnes mobilisées se rassemblent et s’assoient par terre devant une grande banderole.
Chacun se cache les oreilles, ou les yeux : c’est l’attitude des candidats face à l’existence du risque et à l’urgence de fermer X centrales.

LE TRACT

 » Tchernobyl, Fukushima, plus jamais ça !

Une technologie dangereuse

Le nucléaire civil et militaire peut provoquer des dommages irréparables à l’environnement sur des zones entières et pour des milliers d’années. La catastrophe de Tchernobyl, d’après une publication de l’Académie des Sciences de New-York, a fait près d’un million de morts. Celle de Fukushima, toujours en cours, risque de provoquer le même désastre. En France, le Président de l’Autorité de Sûreté Nucléaire n’exclut plus la possibilité d’un accident majeur.

Très cher nucléaire

Un tiers des 58 réacteurs français a déjà atteint 30 ans. Ce vieillissement entraînera une multiplication des risques dans les années à venir. Pour y faire face, il faudrait investir plus de 3,7 milliards d’euros par an dans les travaux de sûreté ! Quant au réacteur EPR, c’est un gouffre financier.

Une pollution constante

Même en fonctionnement « régulier », toutes les installations nucléaires sont autorisées à rejeter des particules radioactives qui portent gravement atteinte à la santé des travailleurs et des riverains. Plusieurs études officielles allemandes et françaises font état d’un excès de leucémies infantiles autour des centrales. Dans les pays où le minerai est extrait, les mines d’uranium polluent les sols, les eaux et l’air. Il n’existe pas de solution pour la gestion des déchets radioactifs produits par la filière nucléaire, dont certains resteront dangereux pendant des millions d’années.

L’adoption immédiate d’un plan de sortie du nucléaire devrait s’imposer comme une évidence !

Sortir du nucléaire, c’est possible !

Différents scénarios le prouvent : grâce à un plan ambitieux d’économies d’énergie et au développement des énergies renouvelables, et avec un recours modéré au gaz, il est tout à fait possible de sortir rapidement du nucléaire, sans revenir à la bougie. C’est avant tout une question de volonté politique !

Sortir du nucléaire, une décision créatrice d’emplois

La rénovation écologique, la construction de bâtiments peu consommateurs et le développement des énergies renouvelables peuvent créer des centaines de milliers d’emplois, non délocalisables et répartis sur tout le territoire. En Allemagne, en dix ans, 370 000 emplois ont été créés dans les énergies renouvelables !

Pourquoi pas en France ? Qu’attendons-nous ?

Sortir du nucléaire civil et militaire, c’est mettre fin au risque permanent de catastrophe et arrêter de produire des déchets dangereux… et assurer ainsi un avenir plus serein pour les générations futures.
En arrêtant en un an la quasi-totalité de ses centrales sans pour autant mettre un coup d’arrêt à l’activité économique, le Japon, dont 28 % de l’électricité était nucléaire, montre qu’on peut se passer rapidement d’un nombre important de réacteurs. Comme la Belgique, l’Allemagne, l’Italie, la Suisse, nous pouvons sortir du nucléaire … sans attendre un accident majeur ! C’est possible, et c’est urgent !
Tel est le sens de l’appel « Nucléaire : nous voulons avoir le choix », signé par 68 organisations le 17 mars 2011.

Arrêtons dès maintenant :

• Le chantier du réacteur EPR de Flamanville et du projet de réacteur de Penly, ainsi que les projets de lignes THT qui en partiront
• La centrale de Fessenheim, mais aussi les 19 autres réacteurs qui ont atteint les 30 ans de fonctionnement.
Les cuves des réacteurs ne sont pas remplaçables, et mieux vaut investir dans les économies d’énergie et les renouvelables plutôt que d’engloutir des milliards pour rafistoler les vieilles centrales !
• La fabrication du combustible MOX et du « retraitement » des déchets à La Hague, qui pollue dangereusement l’environnement
• Les projets d’enfouissement de déchets radioactifs • Le projet ITER, à Cadarache, qui gaspille des milliards pour une expérience sur la fusion nucléaire, dangereuse et hypothétique.
• Les projets de réacteurs dits de « 4e génération »
• Les projets portés à l’étranger par l’industrie nucléaire française

Exigeons une décision politique irrévocable de sortie du nucléaire, qui se traduira par :

• L’adoption d’un scénario de sortie du nucléaire, avec un calendrier précis, en commençant par l’arrêt des 21 autres réacteurs qui approchent des 30 ans de fonctionnement et ceux situées en zones sismique ou inondable, ainsi que ceux (y compris les plus récents) montrant un fonctionnement à risques.
• Une réorientation de la politique énergétique française, avec un soutien massif aux économies d’énergies, à l’efficacité énergétique (entre autres, plan massif de rénovation des bâtiments et abandon du chauffage électrique) et aux énergies renouvelables
• La mise en place d’un véritable service public de l’énergie.

Enfin, engageons la France dans la voie du désarmement nucléaire, par l’adoption d’une convention internationale d’élimination des armes nucléaires.

1. Il s’agit des réacteurs n°2,3,4 et 5 du Bugey ; n°1,2,3 et 4 de Gravelines, n°1,2,3 et 4 de Tricastin, n°1, 2,3 et 4 de Dampierre, B1 et B2 de Saint-Laurent et n°1 du Blayais

2. À savoir les réacteurs n°2,3 et 4 du Blayais, B1, B2 et B3 de Chinon, n°1,2,3 et 4 de Cruas, n°5 et 6 de Gravelines, n° 1,2,3 et 4 de Paluel, n°1 et 2 de Flamanville, n° 1 et 2 de Saint Alban et Cattenom n° 1.

IPSN – Ne pas jeter sur la voie publique – Illustrations : © Réseau «Sortir du nucléaire» – Laurent Vanhelle – www.free-pao.fr

Rejoignez le Réseau “Sortir du nucléaire” !

Fédération de 930 groupes locaux et plus de 56 000 individus, le Réseau “Sortir du nucléaire” mène des campagnes d’information et de mobilisation. Il a pour ambition de réunir toutes les personnes qui souhaitent une décision de sortie du nucléaire en France.
Pourquoi pas vous ?
Retrouvez-nous et signez notre charte sur SORTIR DU NUCLEAIRE
Plus d’informations ? contact@sortirdunucleaire.org
Mobilisons-nous pour nous faire entendre !

En France, la majorité de la population est favorable à la sortie du nucléaire, mais les partis dominants refusent de l’admettre.

RASSEMBLEMENT LITTORAL et MARITIME de PAQUES « Trafalgar des pétroliers » dimanche 8 avril 2012 autour de Brégançon : à partir de 11 h à La Seyne sur Mer

((/images/Pétrole en Méditerranée Manif avril 2012 recto.jpg)) ((/images/Pétrole en Méditerranée Manif avril 2012 verso.gif)) Le __[SITE|http://www.non-aux-hydrocarbures-en-mer.org/index.php/accueil-public|fr]__  » 8 avril 2012 à partir de 11 h à La Seyne sur Mer Manifestation nationale contre la plate-forme de forage au large de nos côtes : Permis Rhône-Maritime et contre l’exploration et l’exploitation des gaz de schiste en France __La situation est grave__ Après avoir créé la commission nationale sur les gaz de schiste, le gouvernement a publié, jeudi 22 mars, son rapport complémentaire passant en revue l’ensemble des techniques d’exploration et d’exploitation des hydrocarbures non conventionnels. Sans surprise, il préconise l’emploi de la fracturation hydraulique. __Un car est organisé au départ de Nice__ avec arrêt à Antibes et Le Cannet/Mougins. Départ autour de 9 h, retour au départ de La Seyne à 17 h. %%% __Prix 12 € AR (8 € chômeurs, étudiants)__%%% Prévoir un pique nique.%%% Inscription le plus rapidement possible, au + tard le 1er avril auprès de sylvie.bonaldi@gmail.com « 

Alors que la vérité se fait jour à Fukushima, les élus EELV ( Europe Ecologie Les VERTS ) interpellent l’Autorité de Sureté Nucléaire

Alors que la vérité se fait jour à Fukushima, les élus EELV interpellent l’Autorité de Sureté Nucléaire  » Les élus Europe Ecologie les Verts membres de commissions locales d’information (CLI) des installations nucléaires françaises dénoncent les silences des autorités japonaises sur le déroulé de la catastrophe de Fukushima et ses conséquences. Pour autant, les informations déjà vérifiées suffisent à dresser un bilan environnemental et sanitaire dramatique pour les populations. En France, ce bilan constitue un argument supplémentaire pour engager immédiatement une transition énergétique permettant la sortie du nucléaire, mais aussi un renforcement majeur de la sécurité des installations existantes dont l’arrêt et le démantèlement se dérouleront sur plusieurs décennies. Que s’est-il vraiment passé à Fukushima ? Aujourd’hui, non seulement les réacteurs ne sont toujours pas sous contrôle et continuent à dégager des composants fortement radioactifs, mais il apparaît que la population a été gravement désinformée. Plus de 500 000 personnes vivent dans des zones fortement contaminées. La ville de Fukushima située à 60 kilomètres de la centrale n’a pas été évacuée. Pourtant les doses de radioactivité que reçoivent les habitants sont telles que les conséquences sur leur santé sont certaines. Quelques jours après l’accident, une première estimation pour la seule zone de Fukushima calculait déjà un risque de plus de 400 000 cancers supplémentaires[1]. Plus grave, plusieurs scientifiques reconnus apportent des éléments qui pourraient remettre en cause certaines explications données par les autorités japonaises et reprises par leurs homologues américains et français :
Continuer la lecture de Alors que la vérité se fait jour à Fukushima, les élus EELV ( Europe Ecologie Les VERTS ) interpellent l’Autorité de Sureté Nucléaire

Dimanche 11 mars 2012, à partir de 13h30 réagissons ensemble pour sortir du nucléaire ! Grande chaîne humaine sur de 230 km de long de Lyon à Avignon

((/images/Chaine humaine mars 2012.jpg)) Toutes les informations sur __[CHAINE HUMAINE|http://www.chainehumaine.org/|fr]__ __DERNIERE MINUTE__ 29février : Départ groupé depuis : NICE – 06000 Via : ST-LAURENT, ANTIBES, LES ADRETS, LE MUY%%% Lieu du rendez-vous : Jardin Albert Premier %%% Tronçon d’arrivée : ORANGE – AVIGNON Départ le : 11/03/2012 – horaire à confirmer __Tarif du voyage : 20 euros__%%% Tarif réduit du voyage : 10 euros%%% Contact pour réservation : Martine LAMBERT%%% Tel : 0497140675  » Un an jour pour jour après Fukushima formons une grande chaîne humaine d’Avignon à Lyon dans la région la plus nucléarisée d’Europe __Sortir du nucléaire, c’est possible !__ __REJOIGNEZ LA GRANDE CHAINE__ ((/images/Sortons du nucléaire .jpg))
Continuer la lecture de Dimanche 11 mars 2012, à partir de 13h30 réagissons ensemble pour sortir du nucléaire ! Grande chaîne humaine sur de 230 km de long de Lyon à Avignon

Gaz de schiste, pétition à l’échelle européenne : APPEL A UN CONSENSUS EUROPEEN

Signer __[LA PETITION|http://www.petitions24.net/appel_a_un_consensus_europeen_fr|fr]__ APPEL A UN CONSENSUS EUROPEEN_FR Monsieur Günther Oettinger, Commissaire Européen à l’Energie B – 1049 – BRUXELLES, Belgique Madame Connie Hedegaard%%% Commissaire Européen à l’action pour le climat%%% Rue Archimède, 73%%% 1000 – BRUXELLES%%% Belgique Cc : Monsieur Jo Leinen jo.leinen@europarl.europa.eu Madame la Commissaire Européen, Monsieur le Commissaire Européen, Lors de la présentation de l’enquête « IMPACTS OF SHALE GAS & SHALE OIL EXTRACTION ON THE ENVIRONNEMENT AND HUMAN HEALTH » (IP/A/ENVI/ST/2011-07) par Stefan Lechtenböhmer, sous la responsabilité de Lorenzo Vicario, démontrant l’inquiétude des citoyens européens face aux changements climatiques, vous avez déclaré, Madame la Commissaire européen en charge du Climat, ne « pas être favorable à un moratoire sur les gaz de schiste » justifiant « ne pouvoir pas dire non d’emblée à une technologie ». A l’issue de ce débat, la Commission a refusé de rejeter entièrement l’exploitation des gaz de schiste en Europe ; l’Union Européenne restant tiraillée entre « sécurité énergétique » et « environnement » et vous-même, Monsieur Günther Oettinger, Commissaire en charge de l’énergie, vous êtes « prononcé pour l’adoption de normes communes à l’UE et pour soumettre une proposition d’ici à 2012 ». De plus, selon un article du jour dans « The Wall Street Journal », vous avez annoncé, Monsieur Gunther Oettinger,que la Commission européenne venait de se prononcer opposée à tout encadrement législatif nouveau pour les gaz et huiles de schiste à l’échelle de l’Union Européenne. L’eurodéputé Jo Leinen avait, quant à lui, confié à « The Guardian » qu’il souhaitait une Directive qui impliquerait que les carburants ayant des effets négatifs sur l’environnement – tels que le gaz de schiste et le pétrole issu de sable bitumineux – soient strictement réglementés au sein de l’UE. Jo LEINEN a affirmé que ce genre d’intervention législative serait sans doute soutenue, dans la mesure où de nombreux euro-députés sont de plus en plus inquiets quant au rôle du gaz de schiste dans le bouquet énergétique mondial. Le Conseil a – par ailleurs – demandé un programme d’action concernant les eaux souterraines et une révision de la directive 80/68/CEE du Conseil du 17 décembre 1979 concernant la protection des eaux souterraines contre la pollution causée par certaines substances dangereuses, dans le cadre d’une politique globale de protection des eaux douces. Dans la nature, il faut des millions d’années à des températures comprises entre 100 et 150°C pour générer des hydrocarbures dans la plupart des roche-mères. Or, ces ressources naturelles – et surtout fossiles – ne sont pas infinies et c’est bien le défi de cette décennie auquel nous sommes confrontés, aujourd’hui. De plus, il y a désormais consensus sur la réalité d’un dérèglement climatique globale et, aujourd’hui, face au défi majeur du 21ème siècle qu’est l’épuisement programmé des ressources naturelles, les populations souhaitent mettre en œuvre les bases du développement durable car le modèle actuel n’est plus pérenne. En effet, « une transition énergétique est non seulement possible, mais elle est économiquement viable, elle est non seulement possible, mais « C’EST LA SEULE OPTION » car nous sommes confrontés à la plus redoutable urgence de notre temps ». Il n’est pas inutile de rappeler ici les risques encourus par la fracturation hydraulique : utilisation de 700 produits chimiques, pour la plupart générateurs de cancers et Adam Law, un endocrinologue de l’école de médecine Weill Cornell de New York estime qu’il faut imposer un moratoire sur l’hydrofracturation, le temps que la question des effets sur la santé soit tranchée. S’y ajoute la pollution avérée et prouvée de la nappe phréatique, de même que les risques de séismes. NOUS, CITOYENS EUROPÉENS, DEMANDONS UNE AUTRE VOIE VERS LA TRANSITION ENERGETIQUE – puisque LE PIC PETROLIER EST ATTEINT – visant à une considérable diminution de l’utilisation d’énergies fossiles et nucléaire en anticipant sur la fin des « fossiles faciles » et une interdiction de l’exploration et de l’exploitation des gaz de schiste en Europe, pour passer à un système bâti sur le citoyen responsable substituant un réseau horizontal et interactif au réseau de haut en bas du paradigme (*) traditionnel. « Scénario idéal, » pensez-vous alors ! Toute action est possible, toute action est réaliste et réalisable avant que n’arrive le jour où nous ne pourrons plus nous nourrir, nous éclairer, nous chauffer parce que nous aurons fait les mauvais choix. Les mouvements citoyens qui manifestent et s’insurgent – TRADUISENT CETTE VOLONTÉ PRIMORDIALE. C’est DONC aussi tous les modes de gouvernance auquel il convient de remédier. Nous avons tous les instruments en place pour cela. En Europe, cela s’appelle : LA CONVENTION AARHUS CAR NOUS SOMMES LE PEUPLE. Nous voulons un changement, et pas seulement dans les décisions du mix-énergétique : nous voulons une Europe qui s’oriente vers les besoins humains, et non pas vers la satisfaction et le profit de quelques-uns, une Europe qui ne soit plus dans le déni de démocratie. Mesdames, Messieurs, recevez l’appel DES CITOYENS DE L’EUROPE (Mouvement euro-citoyen).  » (*) En doctrine économique, choix de problèmes à étudier et des techniques propres à leur étude.

Action nationale : 5 minutes contre le nucléaire ! Éteignez vos lampes et appareils consommant de l’électricité entre 19 h 55 et 20 h, les 11 février, 11 mars, 26 avril et 4 mai prochains

((/images/Cinq mn contre le nucléaire.jpg)) __[AGIR POUR L’ENVIRONNEMENT|http://www.agirpourlenvironnement.org/|fr]__  » Action nationale : 5 minutes contre le nucléaire ! A l’appel de 12 organisations (voir ci-dessous), vous êtes toutes et tous invité(e)s à éteindre vos lampes et appareils consommant de l’électricité entre 19 h 55 et 20 h, les 11 février, 11 mars, 26 avril et 4 mai prochains.%%% Cette action nationale a pour but :%%% de commémorer les catastrophes de Fukushima et Tchernobyl,%%% de protester contre la politique énergétique de l’État français qui n’a de cesse de soutenir encore et toujours le nucléaire.%%% Après la catastrophe de Fukushima, la France doit abandonner le nucléaire.%%% La campagne présidentielle doit être l’occasion d’engager notre pays sur la voie d’une transition énergétique pleinement assumée faisant la part belle aux énergies renouvelables et à la maîtrise de l’énergie.%%% Restez au « courant » :%%% En nous laissant vos coordonnées, quelques heures avant chaque action, vous recevrez un courriel et/ou un SMS pour rappel et une invitation à rediffuser l’information largement afin d’amplifier la mobilisation.%%% Si nous sommes plusieurs dizaines de milliers d’individus à agir de concert, nous pouvons avoir un impact et montrer que nous sommes nombreux-ses à vouloir sortir du nucléaire.%%% Un petit geste peut avoir, s’il est démultiplié, une puissance militante insoupçonnée. « 5 minutes contre le nucléaire » est une action nationale lancée à l’appel de l’association Agir pour l’Environnement et de 11 autres organisations (et peut-être d’autres à venir ? Vous souhaitez être partenaire : contactez nous sur contact@cinqminutescontrelenucleaire.fr) : l’association Agir pour l’Environnement, Greenpeace,%%% Attac,%%% Biocoop,%%% la Confédération paysanne,%%% le Réseau Action Climat%%% Nature et Progrès,%%% la Fondation France Libertés,%%% le Réseau Sortir du nucléaire,%%% WECF,%%% Générations Futures%%% Résistance à l’Agression Publicitaire%%% Ils soutiennent :%%% Cyberacteurs%%% Comité Stop Belleville Stop Dampierre « 

Méditerranée : NON à la recherche de pétrole …oui au solaire et à l’éolien ! Rencontre inter-régionales pour la protection de la Méditerranée à Toulon le 13 février à 18h30 avec le Partit Occitan et Europe Ecologie Les Verts

((/images/Pétrole Méditerranée Toulon février 12.jpg)) Salle Mozart , Boulevard Maréchal Leclerc, Toulon, France%%% avec comme invités: %%% François Alfonsi (Eurodéputé R&PS/PNC), %%% Michèle Rivasi (Eurodéputée EELV), %%% Fabiana Giovannini (Conseillère Territoriale de Corse R&PS/PNC), %%% Christine Sandel (Conseillère Régionale Provence-Alpes-Côte d’Azur), %%% etc.

 » En 400 pages, l’effondrement du mythe du nucléaire pas cher  » article dans « Libération » avec Yannick JADOT, député Européen EELV (Europe Ecologie Les Verts)

((/images/Yannick JADOT logo.jpg)) A lire en entier dans __[LIBERATION|http://www.liberation.fr/politiques/01012387162-en-400-pages-l-effondrement-du-mythe-du-nucleaire-pas-cher|fr]__: __«En 400 pages, l’effondrement du mythe du nucléaire pas cher»__ article de Matthieu Ecoiffier paru dans le Libération du 1 février 2012  » L’eurodéputé Europe Ecologie-les Verts Yannick Jadot réagit au rapport de la Cour des Comptes sur le coût du nucléaire et estime que la sortie de l’atome est plus que jamais d’actualité : __Saluez-vous, à l’instar de François Fillon, un «exercice de transparence» ?__ C’est effectivement un premier exercice de transparence. Mais il en appelle d’autres. Après quarante ans de nucléaire civil, on n’arrive toujours pas à évaluer le coût des déchets et du démantèlement. Sur le fond, c’est un rapport extrêmement important. …  » Et le blog de __[Yannick JADOT|http://www.yannickjadot.fr/|fr]__

Communiqué des collectifs locaux contre les gaz et huiles de schiste réunis en Coordination Nationale

 » Ce week‐end, samedi 14 et dimanche 15 janvier, les collectifs locaux contre les gaz et huiles de schiste se sont réunis à Bagnolet (Seine-Saint Denis) en Coordination Nationale. __La mobilisation des collectifs locaux ne faiblit pas.__ Les collectifs rappellent qu’ils exigent l’abrogation de l’ensemble des 61 permis restants et l’abandon des 84 demandes en cours d’instruction. Ils ne tolèreront aucune expérimentation de stimulation de la roche.%%% A la lecture des rapports remis par les industriels dans le cadre de la loi du 13 juillet 2011, il est évident que de nombreux autres permis devraient être abrogés sur la même base que l’ex-permis de Total : certains industriels ont manifestement omis d’indiquer qu’ils utiliseraient la fracturation hydraulique, aujourd’hui pourtant interdite en France.%%% Les collectifs se mobilisent également contre les permis d’exploration offshore, en particulier le permis Rhône-Maritime au large de Marseille et Toulon, et demandent instamment que toute exploration d’hydrocarbures offshore soit stoppée. A l’image des très nombreux nouveaux collectifs sur le territoire, la création du collectif Provence pour s’opposer au permis offshore Rhône Maritime est une excellente nouvelle.%%%
Continuer la lecture de Communiqué des collectifs locaux contre les gaz et huiles de schiste réunis en Coordination Nationale

Centrale nucléaires : deux fois plus d’enfants atteints de leucémie près des centrales que dans le reste du pays d’après l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale)

On le supposait depuis longtemps chez les professionnels de santé, mais faute d’études épidémiologiques volontairement insuffisantes on n’en était pas sûr. Maintenant, on le sait. Et ceci grâce à cette volonté de savoir qui anime les professionnels et les citoyens … et finit par remonter. Ne rien faire serait criminel devant l’épidémie de maladie chroniques ( dont les leucémies et les cancers ) que nous subissons en France et qui s’aggrave de plus en plus. A lire en entier dans __[FRANCE INFO|http://www.franceinfo.fr/societe-nucleaire/leucemie-plus-de-cas-quand-on-habite-pres-d-une-centrale-nucleaire-495233-2012-01-11|fr]__ : __Leucémie : plus de cas quand on habite près d’une centrale nucléaire__  » Le nombre d’enfants atteints de leucémie serait deux fois plus important lorsque ces dernières habitent près d’une centrale nucléaire. C’est ce que laisse comprendre une étude réalisée et rendue publique par l’INSERM.
Continuer la lecture de Centrale nucléaires : deux fois plus d’enfants atteints de leucémie près des centrales que dans le reste du pays d’après l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale)