PREAMBULE __ La bonne nouvelle : nous savons agir contre beaucoup de maladies chroniques, dont les maladies cancéreuses __*__ ( 358 000 nouveaux cas estimés en France en 2010 ), les affections neurologiques dégénératives (Alzheimer ) … … etc, et aller vers leur suppression.__ __ La mauvaise nouvelle : le voulons-nous et nous donnons-nous les moyens RÉELS d’y arriver ?? __ Et vlan ! On nous refait le coup de l’amiante ! %% Plus d’un siècle pour l’interdire en France … avec le désastre sanitaire, les drames humains, le désarroi et la solitude terrible des victimes que nous connaissons. %%% Alors qu’on savait très tôt au niveau médical, les dangers et les risques avérés de maladie … que les industriels producteurs de risque niaient, à qui mieux mieux, comme d’habitude. %%% __UN SIÈCLE DE GAGNÉ SUR LE PLAN FINANCIER POUR CERTAINS. UNE VIE MUTILÉE POUR BEAUCOUP D’AUTRES%%% TRÈS TRÈS SALE HABITUDE !__ %%% Ben voyons, pourquoi se priver, c’est si facile … en France. Et puis, des méthodes infantilisantes : on nous prend pour des cons ! En résumant :%%% Pas d’amiante, on se brûle.%%% Pas de parabène, on a des microbes partout. COMME POUR L’AMIANTE, les parabènes finalement on nous dit que ce n’est pas si terrible ! %%% Et que de toute façon, COMME POUR L’AMIANTE, c’est très utile et puis à la fin, on vous rabâche qu’on n’a rien d’autre à mettre à la place !! La panacée, on vous dit ! Tout d’abord, un article à lire en entier dans __LE MONDE__ : __Des parabènes présents dans 400 médicaments__ » Environ 400 spécialités pharmaceutiques – certaines utilisées de façon très courante– contiennent des parabènes.AFP/JOËL SAGET __*__ : __prévention systématique en supprimant toutes les substances cancérogènes artificielles et souvent industrielles qui pullulent librement autour de nous dans de nombreux domaines ( y compris dans les médicaments allopathiques ) et que je dénonce au fil des articles « Environnement-Santé » relayant les associations et spécialistes médicaux ou scientifiques compétents, bonne hygiène de vie ( suppression des « toxiques » : tabac, alcool, pesticides, diesel … etc ), activité physique, alimentation équilibrée ( « Environ un tiers des cancers les plus communs pourrait être évités dans les pays industrialisés, dont la France, grâce à une meilleure alimentation », selon le Fonds mondial de recherche contre le cancer (WCRF) et l’American Institute for Cancer Research (AICR) ) … __
Et vlan ! On nous refait le coup de l’amiante ! %% Plus d’un siècle pour l’interdire en France … avec le désastre sanitaire, les drames humains, le désarroi et la solitude terrible des victimes que nous connaissons. %%% Alors qu’on savait très tôt au niveau médical, les dangers et les risques avérés de maladie … que les industriels producteurs de risque niaient, à qui mieux mieux, comme d’habitude. %%% __UN SIÈCLE DE GAGNÉ SUR LE PLAN FINANCIER POUR CERTAINS. UNE VIE MUTILÉE POUR BEAUCOUP D’AUTRES__%%% __TRÈS TRÈS SALE HABITUDE !__ %%% Ben voyons, pourquoi se priver. Des méthodes infantilistes : on nous prend pour des cons ! En résumant :%%% Pas d’amiante, on se brûle.%%% Pas de parabène, on a des microbes partout. COMME POUR L’AMIANTE, les parabènes finalement on nous dit que ce n’est pas si terrible ! %%% Et que de toute façon, COMME POUR L’AMIANTE, c’est très utile et puis à la fin, on vous rabâche qu’on n’a rien d’autre à mettre à la place !! La panacée, on vous dit ! Sans parler du scandale à rallonge des médicaments qui nous empoisonnent … Tout d’abord, l’article, à l’origine du contre article téléguidé par les producteurs de risque, à lire en entier dans __LE MONDE__ : __Des parabènes présents dans 400 médicaments__ » Environ 400 spécialités pharmaceutiques – certaines utilisées de façon très courante– contiennent des parabènes, ces conservateurs dont la toxicité et les effets cancérigènes font l’objet de débats scientifiques et dont l’Assemblée nationale a voté l’interdiction le 3 mai. La liste, établie par Le Monde, comprend aussi bien des dentifrices que des médicaments utilisés en chimiothérapie anticancéreuse. Parmi les produits les plus courants listés : de nombreux cosmétiques pour bébé ; des crèmes comme la Biafine ; de nombreux sirops contre la toux (Clarix, Codotussyl, Drill, Hexapneumine, Humex, Pectosan, Rhinathiol) ; des pansements gastriques (Maalox, Gaviscon) ; des traitements des troubles du transit intestinal (Motilium) ou des nausées et vomissements (Primpéran) ; les formes en suspension buvable de médicaments cardiovasculaires (Cozaar, Vastarel) ou antibiotiques (Josacine, Zinnat) ; des médicaments contre la douleur et la fièvre (formes génériques d’ibuprofène et de paracétamol) ; les traitements de l’asthénie (Sargenor) ; sans oublier les formes génériques de ces médicaments. Les parabènes sont présents dans des milliers de produits cosmétiques, alimentaires et dans des médicaments afin d’éviter le développement de champignons et de micro-organismes qui pourraient être nocifs pour l’homme. Les conservateurs ont également pour objectif d’empêcher la dégradation du médicament et la baisse de son efficacité, voire d’éviter sa nocivité. Le 3 mai, les députés avaient créé la surprise en adoptant, contre l’avis du gouvernement, la proposition de loi de Yann Lachaud (Nouveau Centre, Gard) visant à interdire l’utilisation des phtalates, des parabènes et d’alkylphénols, trois catégories de perturbateurs endocriniens. Le texte doit encore être voté par le Sénat, mais l’inquiétude règne dans les secteurs industriels concernés, qui se verraient obligés, en cas d’adoption définitive, de trouver des substances de remplacement. Une étude de toxicologie, menée par l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) avec le concours de plusieurs laboratoires pharmaceutiques, est en cours. « Les 400 spécialités pharmaceutiques contenant des parabènes, sous forme méthyle ou propyle, concernent environ 80 firmes titulaires d’autorisations de mise sur le marché », estime Vincent Gazin, responsable de l’unité de toxicologie clinique de l’Afssaps et pilote de l’étude en cours, dont les résultats sont attendus pour novembre. EFFETS TOXIQUES … » Et puis l’article du titre à lire en entier ( ça vaut le coup ! ) dans le __[ JOURNAL INTERNATIONAL DE MEDECINE|http://www.jim.fr/en_direct/pro_societe/e-docs/00/01/E6/9C/document_actu_pro.phtml|fr]__ journal réservé aux professionnels médicaux%%% Extraits : » Connectez vous sur la version numérique de votre bon vieux Vidal et amusez vous à rechercher dans la fiche descriptive d’un médicament courant (un anti-inflammatoire très connu par exemple) la présence de parabène. Bingo. Et si la substance chimique, recherchée sous son nom commun, n’était pas aussi facilement démasquée, vous pourrez la traquer en tapant successivement l’une de ses nombreuses autres appellations telle 4-hydroxybenzoate de méthyle (qui renvoie au méthylparabène) ou 4-hydroxibenzoate d’éthyle (éthylparabène).%%% Le compte est bon Une telle recherche réalisée presque exhaustivement permet d’identifier quelque 400 spécialités pharmaceutiques, souvent très fréquemment utilisées, contenant du parabène. Tel a été le résultat obtenu par le quotidien le Monde qui publie dans son édition datée du 24 mai une liste des médicaments contenant la substance chimique décriée. Un calcul à peu près similaire aux données de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS) qui indique dans une note émise en réponse à la publication du quotidien qu’elle a recensé « 400 spécialités de médicaments contenant des parabènes dont 306 plus particulièrement ciblés parce que contenant du propylparaben (c’est le parabène le plus utilisé dans les médicaments et suspecté de présenter un risque pour la fertilité) » précise l’agence. L’AFSSAPS ne tombera plus dans le piège de la liste Au-delà de cette convergence des chiffres, le quotidien et l’institution différent sur la méthode. Le Monde n’a en effet pas hésité à présenter une liste précise en mettant en avant la présence au sein de celle-ci de cosmétiques pour nourrisson, mais aussi de crèmes désinfectantes, de sirops contre la toux, de traitements contre les troubles intestinaux, de produits contre la douleur, d’antibiotiques et jusqu’à des médicaments utilisés en chimiothérapie anticancéreuse. … Rien de mieux que les parabènes Liste ou pas liste, telle n’est cependant pas la question la plus aigue. Il apparaît d’abord nécessaire de déterminer pour quelle raison on retrouve ces parabènes dans nos médicaments. L’AFSSAPS répond une fois encore très clairement à cette interrogation. Ces substances sont utilisées comme des conservateurs destinés à « éviter la contamination microbiologique des médicaments et empêcher la dégradation des principes actifs ». Aujourd’hui, ils semblent représenter les conservateurs les plus fiables : pour l’heure en effet « il ne semble pas possible de proposer (…) des alternatives chimiques ayant un meilleur profil de sécurité et une efficacité de conservation égale aux parabènes. Par définition, tous les conservateurs sont biologiquement actifs. En conséquence, tout conservateur peut conduire potentiellement à des problèmes de sécurité. (…) D’autres conservateurs chimiques pourraient être utilisés mais le risque lié à leur utilisation n’est pas documenté ». Chef du service de pharmacologie toxicologie de l’Hôtel Dieu et président l’an dernier de l’Académie de pharmacie, le professeur François Chast ajoute interrogé par le Figaro : « Ce sont les conservateurs de référence car leur mécanisme d’action est orienté sur le métabolisme des bactéries ». Un rapport attendu en novembre Utiles dans les médicaments, les parabènes sont-ils néanmoins dangereux ? Et corollaire de cette première interrogation, leur retrait des spécialités pharmaceutiques (bien qu’apparemment difficilement envisageable dans l’immédiat si l’on en juge par les réponses de l’AFSSAPS) doit il être envisagé ? Répondre à ces questions demeure particulièrement difficile tant les données sur le sujet restent parcellaires. C’est notamment ce qu’avaient conclu les experts de l’INSERM dans une synthèse publiée mi avril. Concernant les parabènes, ces derniers soulignaient que les études épidémiologiques n’apportaient que des informations « insuffisantes pour confirmer l’impact des parabènes sur la qualité spermatique ». Cependant, en dépit de travaux comportant biais et incertitudes, c’est sur la base d’une étude publiée en 2004 par une équipe britannique ayant mis en évidence « des parabènes dans des biopsies de tumeurs du sein » que l’AFSSAPS a commencé à s’intéresser de plus près à l’éventuelle nocivité de ses substances. Si les limites de cette publication ont été reconnues par leurs auteurs eux-mêmes, l’AFSSAPS a cependant estimé nécessaire de mettre en place un groupe d’expertise. Ce dernier s’est notamment attaché aux produits combinant « les doses les plus importantes de propylparaben » et une « commercialisation (…) importante et en particulier quand l’utilisation concerne la population pédiatrique ». Ce recensement fait, des études ad hoc chez l’animal ont été demandées aux titulaires des autorisations de mises sur le marché concernés. Un rapport reprenant les résultats de ces travaux doit être publié en novembre 2011 et permettra d’en savoir plus. En attendant, l’AFSSAPS précise qu’elle « incite les laboratoires à privilégier les méthodes physiques et non chimiques de conservation : modifier les conditionnements, développer les préparations unidoses permettant de s’affranchir de conservateurs chimiques. Mais cela n’est pas toujours possible, notamment dans le cas de solutions buvables ». Les parabènes doivent être conservés … «