((/images/CARRE150.jpg))%%% ((/images/bio semaine logo.Jpg))%%% J’écoutais une émission très intéressante sur FRANCE INTER ( comme très souvent d’ailleurs ) et j’ai appris ce que le « progrès » imposé par les grpupes multinationaux signifiait. Un agriculteur était révolté car on lui vendait du maïs à l’hectare, c’est à dire un pack global : graines, engrais ( chimique bien sûr ! ), pesticides …etc. %%% __Si il ne voulait pas certains produits, on lui faisait une diminution de prix ridicule ! Procésé scandaleux qu’il faut faire connaître et dénoncer__.%%% D’autre part on commence à parler des nombreuses maladies cancéreuses touchant de plus en plus les agriculteurs utilisant tous ces produits chimiques toxiques, et c’est très important que cette espèce de loi du silence stupide tombe enfin.%%% Mais pour les consommateurs, c’est une autre paire de manche : on ( les multinationales ne voyant que leur profit ) nous refait le coût de l’amiante, et autres produits hautement toxiques comme le goudron ( voir le procès de cette semaine gagné par un pauvre ouvrier, victime de ses conditions de travail aberrantes, contre une de ces sociétés : mais rassurez-vous elle a fait appel !! BRAVO ) ou le diesel. %%% On ose encore nous dire que les preuves seraient difficile à apporter !! Du gros n’importe quoi comme d’habitude.%%% Voici un début de présentation de la Bio-semaine%%% » __Le bio est abiordable : 200 magasins le prouvent__ L’idée ambiante c’est que le bio est plus cher que le pas bio.%%% 200 magasins bio proposeront un caddie bio type (conçu par l’un de nos nutritionnistes ou par le magasin ou le groupe de magasins concernés si validé par nous) pour 6 jours et pour un adulte, moyennant la somme de 40 euros. Les suggestions des uns et des autres nous incitent à permettre pour la BioSemaine une certaine latitude aux magasins participants. En effet, des particularismes locaux, les habitudes et les goûts spécifiques de chacun requièrent une souplesse raisonnable. Bien sûr, seront privilégiés le cru au cuit, le végétal à l’animal, la qualité à la quantité…%%% Mais sans exclusion.%%% Le but de l’opération est de montrer que manger bio est comparable en terme de prix, à manger chimique. Le but n’est pas de proposer une alimentation parfaite aux yeux de tel ou tel spécialiste (ils ne sont pas tous d’accord), mais de montrer la voie sans brûler les étapes.%%% Nous montrerons que manger bien est nécessaire pour manger bio sans dépenser plus.%%% Privilégier l’eau par rapport à d’autres boissons coûteuses, fuir les plats préparés industriellement, accroître la part du végétal, manger en ayant faim, en conscience et dans un certain ordre (le ou les fruits avant le repas, par exemple)… Nous rappellerons que la part du budget familial consacré à l’alimentation est passée de 50 % voilà 50 ans à 13 % aujourd’hui selon l’INSEE. Beaucoup rechignent à payer plus cher pour leur alimentation malgré son importance capitale alors qu’ils se perdent souvent en superflu.%%% Nous préciserons que manger bio c’est être cohérent au point de concilier une démarche individualiste et altruiste : préserver sa santé et le plaisir de vraies saveurs par une alimentation saine, non polluée et porteuse en nutriments essentiels pour notre énergie vitale, tout en préservant l’environnement.%%% Nous ferons remarquer enfin que les coûts environnementaux, médicaux et sociaux générés par les productions conventionnelles et supportés par la collectivité, rendent finalement plus coûteux les produits issus de la chimie et du pétrole ! » %%% ((/images/Alliance pour la sante plaquette internet.jpg))%%% ((/images/Alliance pour la sante plaquette internet – copie.jpg))